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Flowers in my hair and demons in my head. Les rêves sont des parties de moi auxquelles je crois et continuerai toujours de croire. Cerisier. Arts. Écriture. Lecture. Musique. Étoiles. Ciel. Nuit. Douceurs. Rage. Songe. 03 - Rêves réalisés.

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La personne que je voudrai être :
Elle serai le genre de fille confiante, la tête sur les épaules, qui ne laissera personne lui dicter quoi faire ni quoi dire. Le genre de fille souriante, pleine de vie, sympathique mais pas trop non plus. Social mais avec ses besoins de solitude. Qui ne cherche pas à être comprise, qui n'a besoin de personne pour avancer. Elle serai faire les choses par elle-même sans avoir besoin de demander de l'aide mais qui ne refusera pas pour autant qu'on lui tende la main au besoin. Une fille qui ne se croit pas au dessus des autres mais qui ne se croit pas non plus en dessous d'eux. Le genre de fille avec un fort caractère mais pas invivable, celle avec qui on peut parler de tout et de rien sans se lasser, sans retenue. Cultivée, dynamique, sérieuse, chaleureuse et futée. Intelligente, rêveuse, intellectuelle et honnête. Franche, courageuse, drôle et passionnée. Elle n'aurai honte de rien, ni de ce qu'elle est à l'intérieur, ni ce qu'elle est à l'extérieur. Elle serai prête à tout pour réaliser ses rêves quitte à se montrer patiente et à galérer des années entières pour cela. Ce serai un fille ambitieuse, optimiste, positive et avec une rage de vaincre et de réussir sans limites. Le genre de fille charismatique, joyeuse et attirante. Une femme qui n'a pas peur d'exprimer ses opinions publiquement, avec de bons arguments et sans parler trop vite. Qui n'aurai pas peur non plus d'exprimer ses sentiments, de pleurer, crier, craquer, hurler, rire ou déprimer. Qui affronterai la vie avec le sourire, la tête haute, avec des hauts comme des bas, sans jamais perdre espoir. Une fille qui assumerai son style originale, ses choix, ses passions et ses paroles. Une artiste amoureuse de la nature, des animaux, du monde et de ses merveilles. Oui ce sera la fille que je serai.
Parfois la vie nous fait souffrir pour obtenir cette fin heureuse auquel nous songeons.
Je continue d'être emporté par ces éclats du temps. Je me sens lasse des ses contraintes, de ceux qui m'impose des limites. Me demande d'être rationnelle, de ne croire en rien d'autre que des faits qui se portent devant moi ou tout simplement d'oublier mes rêves me tourner vers la "réalité". Bon sang, comprenez, ce mot est pour moi subjectif. Mais bien sur vous me jugez pour mes choix comme mes pensées. Mais moi, je me fiche de tout ce qu'il y a autour de moi, de ce que vous pouvez bien penser de moi. Je suis moi et c'est tout qui m'importe. Le passé à fait de moi cette être qui en déçoit plus d'un mais et alors ? La tristesse n'a fait que m'épuiser mais je suis porteuse d'espoirs et rêveuse aujourd'hui et cela continuera à l'avenir. La tête dans les étoiles, mes pensées peintes sur ma toile.
Tu sais pas ce que tu veux, indécise mais sûr de toi. C'est ce que je disais, tu es un vrais paradoxe à toi seule. Tu suis les mouvements des vagues parce que tu aimes plaire et être désiré, cela te fais ressentir une certaine satisfaction. Mais je sais que tu es perdu, que tu te cherche et recherche cette personne qui fera éclater cette tempête dans ton océan. Tu recherche cette fameuse personne unique qui te feras voir le monde d'une tout autre manière, la vie d'un autre sens, les malheurs de la vie d'une douleur plus douce. Cette personne qui fera partie de ton avenir, cette personne magique. Mais alors ouvre tes jolis yeux pleins de merveilles, souris-moi et illumine moi comme un soleil, parce que c'est moi ton rêve.
Elle était belle, non pas seulement pour sa beauté mais pour son être tout entier. C'était le genre de fille paradoxale, à la fois confiante mais qui se pose milles questions à la fois. Elle a ce côté fière, entêté, têtue et pleine d'assurance. Mais aussi cette douce et délicate sensibilité qui la rend fragile et vulnérable. C'est le genre de fille que je qualifierai de fougueuse, passionnante et passionnée. Douce et très gentille, calme et pleine de vie. Elle était un rayon de soleil qui éloigné même les plus sombres ombres de ma vie. Elle avait ce sourire aguicheur, cette manière de me toucher avec sa peau si douce, cette manière de me regarder avec ces yeux pleine de gaieté presque enflammés. Oui, ces yeux, je crois bien que c'est ce qui me fais le plus craquer, je ne peux même pas définir leurs couleur, comment trouver la teinte de peinture parfaite ? Ils étaient comme des diamants océan, un mélange de bleus et de reflets verts. Comme si la mer et la terre se faisait la guerre. Oui, elle avait un corps d'une délicatesse sans limites, des courbes gracieuses et une bouche que je désir à m'en mordre les lèvres. Oh oui, elle était pas seulement belle, c'était la figure même du charme qui à capturée mon âme.
Je ne vous demande pas de me comprendre, encore moins de m'aimer, je vous demande simplement de m'ignorer en me laisser rêver.
Je comprends pas ce besoin qu'on les gents de toujours vouloir se tirer vers le bas même lorsque tout va bien dans leurs vies. Je suis plutôt du genre je m'en foutiste de manière générale. Je m'en fiche un peu de ce que les gents font de leurs vies (mis à part mes proches) et encore moins de ce qu'ils peuvent bien dire. Mais je suis vraiment super déçu de voir des petits jeunes de mon âge (voir plus jeune encore) soit disant "dépressifs" ou souffrant d'une quelconque autre forme "d'agonie psychologique" foutre leurs vies en l'air dans des médocs ou des conneries du genre. Au point même de se mutiler ou de se noyer dans l'alcool et la drogue... Comme si le monde était la cause de tout leurs problèmes. Comme si se battre, avancer, croire en soit, rêver et garder espoir c'était même pas concevable. Mais merde relevez vous, cessez de vous plaindre constamment, vous avez un toit, de quoi vous nourrir et vous vêtir, quelques proches, vous êtes pas seuls et votre vie dans l'ensemble n'est pas si merdique. Alors arrêtez de vous la jouez "c'est trop à la mode de se faire du mal" et accrochez vous putain. Rentrez vous bien ça dans le crane : On a une seule et unique vie, alors même si vous êtes emplis de tourments vous n’êtes enchainés à personne d'autre que vous même. Vivez votre vie à font sans regrets, parce que le passé à fait de vous ce que vous êtes aujourd'hui et votre présent fera votre avenir. C'est bon là, vous êtes ni en pleine guerre ni sans domicile fixe. Les merdes vous en recevrez plusieurs en pleine gueule alors reprenez vous et sortez votre putain de tête de l'eau qui vous noie constamment. Portez vos couilles ou vos ovaires et montrez que vous seuls et maître de votre avenir.
En fait, tu as toujours était un peu violent, un peu colérique, un peu maladroit. Oui tu as toujours était le genre d'homme invivable, instable et lunatique. Oui tu as toujours était ce même homme que j'aime et aimerai surement toute ma vie. Je te dois la vie et le remerciement d'avoir servi à ma création. Mais...
J'en est assez de fermer la porte de mon cœur et de retenir mes pleures. Tu m'as forgé ainsi, pas vrais. Dans la crainte et la solitude. J'ai appris à compter sur moi-même, j'ai appris à être fidèle à moi-même, à croire en mes rêves en me battent pour eux. Tu sais comment tu m'as rendu si géniale ? Parce que tu es tout mon contraire. Tu es l'exemple même à ne pas suivre. T'étais où lorsque je me faisais harceler par ses élèves en primaire ? T'étais où lorsque je pleurait toutes les nuits les insultes que je recevais au collège ? T'étais où quand mes complexes, mon mal être s'est développé ? T'étais où quand j'avais simplement besoin de toi, quand on avait tous besoin de toi ? Tu me regarde, nous regarde comme si tu étais notre héro. Bien sûr, les héros c'est ceux qui amène la bouffe et un toit. Mais tu sais nous on voulait simplement ton amour, ton affection et ta présence. Encore aujourd'hui lorsque je te vois je me demande si je vais m'en prendre une ou si je vais avoir droit à un moment de paix. Pourquoi t'es comme ça ? Il n'y a pas un jour où je me demande en quoi est ce que tu m'as servi. Parce que franchement... Je t'aime mais tu ne m'a jamais soutenu. Alors peut être que la vrais clé de ma liberté, la vrais chose que je cherchait, c'est de me détacher de tes chaines. Vivre de mes propre ailes et ne plus rien te devoir. Je ne veux jamais te voir partir et je t'aime à en mourir. Je vous aimes tous mais... Je suis partagé entre haine et amour te concernent. Alors si tu n'es toujours pas capable d'être présent, essaie d'arrêter les souffrances que tu nous fais endurer à longueur de temps. Je te remercie d'avoir fait de moi celle que je suis, c'est au moins un bon point dans ma jolie vie.

"J'ai pensé à ses futurs "je t'aime".
J'ai prié pour que nous formerions un rêve.
J'ai souris à cette triste ironie.
Puis j'ai songé aux douceurs de la vie.
On s'aimera à s'emplir de bonheur, pendant que ces "autres" pourriront dans leurs malheurs.
Mais pour le moment je suis seul et j’attends ta venue avec impatience."

Les étoiles déversées créent la voie lactée et tes regards sans mots, abrèges mes maux. Tu es un halo lunaire, celui qui m'éclaire. La lumière à mon obscurité, ma nébulosité.
Nous avons tous ce soleil qui brille continuellement dans nos tristes nuits. De ses doux rayons, il nous redonne espoir et goût à la vie. Mais parfois, il arrive que des nuages se mettent au travers de son éclat pour l'empêcher de briller. Mais le vent est toujours là pour les chasser. 
"- Épouse moi.
- Je t'épouse !
- Je ne veux pas de robes, ni de voiles. C'est pas mon truc, moi je te veux nu pour te peindre sur ma toile. Partir, loin, en quête de liberté pour mieux apprécier. Ta jolie voix, tes douces lèvres et nos corps chauds sous les étoiles."

Les instants les plus brefs sont souvent les plus grands...
Il y a trop d'aveugles qui baignent dans la douleur, marre des ces gents qui pleurent leurs "malheurs". Je suis de ceux qui avance dans ces allées immenses. De ceux qui affrontent les obstacles pleins de rêves et d'espoirs, dans ce triste brouillard.
J'ai l'impression de pas correspondre aux attentes des gents qui m'entoure. Je ne devrai pas parler, écouter et la bouclé, faire taire mon cœur et mes pensées. Je suis un peu perdue dans ce monde beaucoup trop petit pour moi.Je l'avoue, je me demande de jours en jours la raison de mon existence en cet univers que j'admire. Pourtant il me donne l'impression de suffoquer, de dépérir. J'avance, je tombe, encore et toujours en attendant de creuser ma tombe. On me demande d’être rationnelle, de garder les pieds sur terre, de faire taire mes rêves. Je ne suis pas intelligente, futé, maligne, sérieuse et cultivé pour eux. Je ne suis pas réaliste, inconsciente et je ne connais rien de la vie. Mais j'avance en restant fidèle à mes choix, je peux paraitre réserver et rêveuse, naïve et irréaliste. Mais je sais aussi que je ne suis pas lâche, j'affronte la vie avec fureur alors que vous pourrissez dans votre malheur.
Nous sommes comme le feu et la glace, nos réalités sont totalement opposées, nos points de vue se font la guerre, je m’enflamme alors que tu reste froid. Mais ce sont ces parties de nous qui s'attirent tellement, qu'elle en finissent par se désirer.
Dans l'histoire de Peter Pan, lorsque nous ne croyons plus aux fées, elles se meurent, alors dans la réalité, du moins ma réalité. Lorsque que vous ne croyez plus en vos rêves, ils se meurent et disparaissent dans l'infime et dense pays de la raison.
J'ai toujours pensé que le fait de caché quelque chose était une forme de mensonge et maintenant je pense que c'est une forme de fatigue. C'est le simple fait de ne plus savoir quoi dire, ne plus trouver les mots sur ces émotions, ne plus savoir les exprimer.
Eh bien je suppose que la seule manière de me faire comprendre et d'écrire. Je vais donc écrire mes sentiments et mes ressenties. Voyez vous je rêve d'utopie, de fantaisie, d'aventures, de féerie, une vie pleine d'émotions et de choses nouvelles à découvrir. Je ne me plains pas, de ce côté là le monde m'offre des merveilles à pas d'heures. Mais je ne sais plus quoi dire, je hurle, je hurle bordel, mais personne ne m'entend. L'humain est bête, je suis bête et ma seule existence en ce monde est un mystère. Je vous pose alors une question ? Dites moi donc, qu'elle est ma place dans ce monde ? Pourquoi suis-je née si je n'est pas ma place en ce monde... Je hurle mes désarrois et je pleure en mon cœur. Les larmes ne coulent plus, mes mains trembles lorsque j'écris pour vous. D'ailleurs qui êtes vous ? Vous... Je me sens vide et lasse, triste et fade. Je ne suis plus à ma place dans ce monde, alors je songe à mes rêves, je sourie et rie de moi même. Je n'est plus ma place dans ce monde bien trop étouffant pour moi. Je n'est plus de place dans le cœur de personne, je veux disparaitre, oubliez moi. Je veux mourir et renaitre, je veux vivre mais disparaitre. Non mourir est trop fort... Alors qu'est ce que je veux exactement ? Oh là, tans de questions se bousculent. Je déçois beaucoup de monde hein ? Mes amies -si je peux dire qu'ils s'en sont désormais- me pardonnerons peut être un jour mais j'ai perdu une partie de leurs cœurs. Du moins, ils sont désormais perdu le mien. Je me fissure à chaque fois que je les vois, je ne me sens vraiment pas à ma place. Elles sont beaucoup trop lumineuses alors que je sombre dans mon agonie. Je n'est peut être besoin de rien que de mes rêves. Oui, j’essaie de me dire que je peux vivre sans personne, je ne serai plus blessé... Non Sarah tu te tais. Je ne peux pas dire cela, elles m'aiment pas vrais ? Et ma famille bien qu'ils font partie de mon agonie, ils m'aiment pas vrais ? Et moi, si je suis née, c'est que j'ai une place dans ce monde pas vrais ? Alors pourquoi ma toile si coloré vient de se faire teinté de noir ? Pourquoi je ne vois plus les étoiles ce soir ? Pourquoi je ne pleure plus alors que mon cœur saigne ? Pourquoi je suis là en train d'écrire alors que je pourrai tout dire. Ah... Plus de question pour cette nuit. Je termine l'écrit de mes sentiments par une phrase : Les nuages cachent les étoiles qui scintillaient pour éclairer mon ciel si noir, aujourd'hui je pense que je vais briller pour moi et seulement moi.
Je pense qu'à partir d'aujourd'hui, tu seras mon meilleur ami, plus besoin de parler, de hurler, je vais maintenant écrire pour me délivrer.
Parfois, c'est fou comme de simple mots peuvent aussi bien t'emplir de joies que t’enduire d’effrois. C'est comme s'ils dansaient en rythme avec les pulsions de ton pou, comme s'ils s’harmonisaient avec les battements de ton cœur. Je ressens ce manque, ce vide. Celui d'un cœur qui n'a pas encore eu droit à sa mélodie. Cela titille mon impatience, attire les conneries, ma colère et mon envie de solitude. Je m'énerve, je repousse, je me renferme sur moi-même. Puis je redeviens le lendemain la souriante et heureuse personne, pleine de rêves. Mais tu as beau tout vouloir foutre en l'air, envoyer chier tout le monde et t'exiler au fin fond de ton être et de ta solitude. Y a toujours ces quelques personnes, têtues, bornées et putain d'attachantes. Qui te donne envie de croire au monde, aux rêves, aux espoirs. Puis à cette connerie que tu connais s'y bien... "l'amour". Alors à ces personnes qui adoucissent même les plus sauvage de mes tourments, qui me remettent en place même lorsque je les blessent et à les repoussent. Alors à ces personnes qui s'attache à moi lorsque je fais tout pour les éloigner. Je n'est plus envie de vous dire que je vous aimes. Ces mots me fatigue...Parce ce qui déborde de mon cœur pour vous et bien plus qu'un amour que l'on peut résumer en trois mots.
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