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Flowers in my hair and demons in my head. Les rêves sont des parties de moi auxquelles je crois et continuerai toujours de croire. Cerisier. Arts. Écriture. Lecture. Musique. Étoiles. Ciel. Nuit. Douceurs. Rage. Songe. 03 - Rêves réalisés.

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Connaissez vous cette sensation au fond de votre être, d'être perdu, de songer sans cesse à nos rêves, notre avenir et la route que nous allons prendre pour le construire. Avoir les regards, les espoirs, les attentes de tous reposer sur nos deux épaules. Avoir cette impression de tout faire de travers, d'avoir des capacités limités et qu'on nous poses des limites. Au fond mon rêve, c'est de voyager, d'être libre, sans contraintes, vivre, oui vivre tout simplement, vivre et découvrir. Je me sens fade et mal à l'aise dans cette vie. Tout est monotone, monochrome et triste. Je veux voir le monde de toutes ses couleurs, voir ses paysages, ses trésors enfouis et vivre une vie d'aventures. Je ne veux pas vivre dans des contraintes qu'on m'impose, que cette société m'impose. Je veux vivre loin de ce cercle vicieux, sans attache à un lieu, prendre mon Van parcourir le monde sans relâche. Ce que je veux moi ? C'est vivre mon rêve. Oui des gents n'y crois pas, oui des gents tentent de me résonner, oui personnes ne croit réellement en moi. Mais moi, je sais que je réaliserai ce rêve. C'est comme si j'étais née pour cela. Chasseuse d'étoiles, porteuse d'espoirs. Mon prénom signifie étoile en latin.

(J'ai écris ce texte pour une personne qui compte énormément pour moi, ma fougueuse et adorable petite sœur de cœur. Ni un amie, ni une meilleure amie, simplement le sens propre du mot "famille". Je t'aime, crois en toi qu'importe les dires du monde, c'est toi qui est maître de ton destin. Ne lâche rien, crois en toi et garde patience, ton rêve se réalisera. Ps : J'attends tes cartes postales)

Il n'y a pas d'avenir s'il n'y a pas de présent, ni de présent s'il n'y avait pas de passé. Alors ne fourvoyons pas nos vies, puisque chaque étapes de votre vie à une raison d'être. Ce qui à fait de nous ce que nous somme aujourd'hui est notre passé, alors notre présent fera notre avenir. Rien n'est perdu, espérez, croyez, rêvez mais faites en une réalité.
Je suis mes rêves, j'avance sans m'arrêter,
Je tombe mais je sais me relever,
J'affronte mais je sais pleurer, 
Je chante mais je sais m'arrêter,
Je suis pleine de réalité mais je sais rêver,
Je baigne dans mes cauchemars mais je veux songer, sans laisser mes doutes me ronger.

Elle était petite, plus petite que les filles de son âge. Elle était brune, ses cheveux mi-long tout bouclés, ni ondulé, ni frisé. Les reflects chocolat de sa crinière lorsqu'elle rencontré les rayons du soleil. Passons à la couleur de sa peau, c'était très dur à définir, ni trop pâle ni trop bronzé mais qui nous évoqué les pays chaud, le soleil et la méditariné.
C'était le genre de fille avec de grands yeux légérement en amandes et ornés de longs cils charboneux, ses prunelles était d'un marron proche de la couleur du bois. Ses lèvres, d'un rose pâle, si pulpeuses, un petit nez adorable et droit. Un petit cou, un petit corps mais plutôt voluptieux, disons que mère nature ne s'est pas privé pour lui offrir de jolies forme dont elle ne devrait pas se plaindre. De belles hanches, une taille marquée et des courbes très féminines. Ses mains était plutôt petite, douces, ses doigts longs et ses ongles plutôt longs mais pas trop. Pour en revenir à ses yeux, il avait cette touche d'émotion comme un bois prêt à s'embrasé à la moindre seconde.Elle avait toujours un sourire rayonnant, très large, sincère et sans retenue. La façon dont ses sourcils foncé, ses joues rougissent et l'éclat de ses yeux lorsqu'elle est mécontente ou embarrassé lui donné ce petit côté adorable et tendre. Décidement elle était d'une douceur féroce, aussi contradictoire que les aspects de son caractère. Une harmonie de tendresse et un feu ardant... Oui elle n'était comme aucune autre.

Oui, j'ai cru qu'un simple regard de ta pars en disait long, oui j'ai cru que je pouvais t'aimé et te donner une nouvelle chance pour te laisser peut être, juste un peu m'aimer plus que je ne t'aime. Oui j'ai cru que toi et moi nous formerions un rêve. Oui évidement que j'ai cru que tu m'aimais. Mais tu l'as dis, tu ne m'aime plus, alors que voyais-tu lorsque tu me regardais dans les yeux ? Je me posais cette question... Jusqu'au jour où j'ai compris que tu ne m'avais jamais réellement regardé...Puis j'ai pleuré et finalement souris. Oui, j'ai souris à cette ironie. Pardis je vais aimé et t'oublié comme la façon dont tu m'as consumé de ton coeur. Oui, on s'aimera à s'emplir de bonheur alors que tu pourriras de regrets dans ton malheur.
Le plus ironique c'est même lorsque je suis entouré je sais que je suis seule. Parce que je ne serai jamais comblé ou entouré, mon coeur s'est bien trop reserré pour me laisser m'attacher et aimer... Parce que j'ai suffisamment payé pour mes erreurs repetées. Allez souris, demain le soleil se lèvera comme les autres jours et ta solitude t'attireras encore plus qu'un chant de sirène.
La seule barrière qui nous sépare du bonheur est nous même. Ne laissez personne vous dire que vous ne pouvez pas faire quelque chose, ne laissez personne vous dire que vous ne réaliserez pas vos rêves. Ne laissez surtout personne se mettre au travers de votre route. N'oubliez jamais que le plus important est de croire en vous même et en ce que vous voulez croire. Parce qu'il n'y a pas de rêve sans espoir, pas de désir sans vouloir, pas d'amour sans haine, pas de joies sans peines. Pas de larmes sans sourires, ni de cries sans rires. Alors perdez vous au travers du temps mais ne laissez jamais le pays des merveilles capturer votre raison. La porte du bonheur et ouverte alors ne la fermez plus. Vous pouvez, vous ferrez, vous y arrivrez alors croyez et rêvez.
À chaque seconde des rêves merveilleux se réalisent ou se créent, des voyages fanstastiques s'achèvent ou commencent, des blessures douloureuses cicatrices ou s'ouvrent.. Le monde est pleins de differences et de vie.
Trois pas en avant, deux pas en arrière, c'est quand même avancer non ?
Même si par moment nous navigons, dérivons, plongons, tombons, nous ne devons jamais songer à abandonner. La plus belle des victoires n'est pas d'y arriver à tout prix mais d'avoir essayer, d'avoir tout fait pour y arriver, de s'être battu pour cela. Parce oui, la plus belle victoire est belle et bien celle de n'avoir aucuns regrets. Nous n'avons jamais échoués puisque nous somme toujours remonter à la surface. Nous échouons que lorsque nous pensons avoir tout perdu.

Je ne suis pas étrange, je ne suis pas différente, je ne suis pas méchante, je ne suis pas idiote, je ne suis pas naïve. Je ne suis pas folle, ma réalité est simplement différente de la votre.
Je me demande pouquoi, même lorsque notre coeur est en paix, notre esprit et serein, cette "petite voix" en nous, qui cherche à tout prix à causer un désarroi dans notre être. Elle s'agite, nous susurre des doutes, nous invente des tourments, nous conte des horreurs, nous ravive des cauchemars... Pourquoi ? Je n'ai jamais vraiment pu répondre à cette question. Ce que je sais par contre, c'est qu'elle est simplement la partie de nous, que nous possédons tous, elle est ce que j'appelle "l'obscure partie de nous même".
J'ai toujours cette envie de liberté, de rêver, d'aventures et de magie. Cette envie de m'envoler et d'un coup d'aile, d'explorer les merveilles que le monde nous offre, ses trésors cachés. Oui... J'ai toujours eu ce désir d'avoir des ailes.
Je veux ton corps en rythme avec le mien, je veux ta bouche explorant la mienne, tes beaux et grands yeux qui m'observent. A chacuns de mes touchés entendre ta voix chanter, nos souffles s'entremêler, nos coeurs s'accorder. Nos chaleurs se mélanger et les "je t'aime" que tu me murmuras sans t'arrêter.
C'est un peu comme si tout était en noir et blanc autour de moi et puis toi seulement en couleurs.
Je crois bien que tu étais la lumière manquante à mon obscurtité.
Je sature totalement et je ne comprends plus rien, je suis perdue. Je me pose des milliers de questions dont je me convaincs ne pas connaître les réponses. Bien sûr, c'est faux, je le sais très bien mais je persiste à faire taire cette petite voix qui me susurre la vérité. Je me sens mal, je me sens moche, je me sens laide, je me sens grosse, je me sens immature et seule. J'ai un sale caractère, je suis insolente, je pars au quart de tour, je suis susceptible, têtu et bruyante. Je prends trop les choses à cœur et je suis lasse d'être moi-même. Je réfléchie beaucoup trop et je me prends trop vite la tête. Je suis complexe et contradictoire. Pas assez sûr de moi, tout le temps en train de douter et de faire des réflexions aux autres, mais c'est moi le soucis. Je le sais, je m'en rend compte et j'en demande sûrement trop. Je persiste à vouloir avoir raison, je persiste à dire que je suis seule alors que c'est moi qui enchaîne les catastrophes. Je persiste à dire que les gents m'abandonne et ne m'accepte pas comme je suis. Peut être que c'est vrais, mais je suis la raison de tout cela. Je me sens tellement mais tellement mal dans ma peau. Je hais ce corps, cette enveloppe hideuse qui entoure mon corps et mes autres organes. Je me sens plutôt bien quand je pense à l'art, à l'écriture, à la musiques, aux rêves et toutes ses passions qui rendent heureuse chaque jours. Même pour ça je suis pas foutue de me donné à fond, ni pour les cours alors que je sais que si je le faisais je pourrai être superbe, je pourrai rendre ma famille fière de moi. Mais je veux pas, je n'en trouve pas l'envie. Je me plains constamment pour gâcher mes réelles douleurs. Comme si j'étais la fille la plus détestable du monde. Je me rappelle encore les paroles de ma mère : "Tu finiras seule et personne ne t'aimeras si tu ne change pas ton sale caractère". Ma mère je l'aime, même si elle me soûle par moment, mais je sais aussi qu'elle à raison. Je suis indécise même pas foutue de faire quelque chose sans douter deux minutes. J'ai un tempérament de feu pas du tout mignon. J'ai sûrement vécu des choses traumatisantes. Je me souviens à peine des gents de ma classe me tapés dessus en primaire parce que j'étais la petite nouvelle. Je me souviens encore des disputes de mes parents et lorsque je recevais les coups et les cris de mon père. Lorsqu'il utilisé mes mauvaises notes en cours pour me défoncer la tête contre le par terre. Je me souviens encore des rires des petites cons du collège qui se foutais de ma gueule parce que je portais pas des pantalons moulant ou les dernières Nike à la mode. Je souviens encore des paroles de leurs paroles à «eux» tous. Mais putain que tu as raison. Bon d'accord, j'ai étais harcelé et martyrisé en primaire et on se foutais de ma gueule au collège. Encore au lycée avec des personnes que je connaissais pas j'étais détesté. Mais avec tout ça, même lorsque je devais gérer mes problèmes de famille, même lorsque je me faisais frapper et descendre. Même si je garde encore des cicatrices dans mon cœur. Je me suis relevé, j'ai avancé, j'ai jamais perdu mon sourire. J'ai continuer de croire en mes rêves, en mes espoirs. Je me suis dis que j'étais pas si nul et impossible. Je me dis toujours que je suis quelqu'un de bien avec un minimum de bonté et de courage. Je me dis que je suis encore qu'une ado en crise qui entre dans sa majorité dans un mois. Je me dis que j'ai pas encore cicatrisé mais que je vais finir par grandir. Alors pourquoi j'ai l'impression de tout gâcher, de toute foirer et d'être juste qu'une putain d'artiste irrationnelle dans un monde trop merveilleux et réel pour moi...
Tu m'es tombé dessus comme une étoile qui aurait filée tout droit jusqu'à mon coeur. Tout de ton être est attirant, perturbant, doux et intriguant. Tu n'es pas seulement la figure du charme qui à capturé mon âme mais aussi la douce mélodie qui berce mes tourments. Je te pense, je te rêve, je te veux. Tu es tel une rose, une douce et délicate fleur aux épines aussi piquantes que pénétrantes. Un fougeux plein de désirs que je ressens pour toi, autant que mon coeur qui s'embale à chacunes de tes paroles. Tu es la toile de couleurs que je souhaite peindre de douceurs. La sirène qui séduit mon esprit. Tu es celle avec qui je voudrai partager ma vie.
Je comprends pas, c'est si insupportable de m'aimer ?
"Je t'en pris, regardes-moi comme moi je te vois. Je t'en pris, désir moi comme toi tu m’obsède. Je t'en pris, penses à moi comme moi je te rêve jours et nuits. Je t'en pris, laisse ton cœur battre aussi vite que le mien. Je t'en pris, oublies les détails comme moi j’oublie mes peurs, avec toi. Je t'en pris, je t'en pris, aimes moi comme moi je suis dingue de toi. Je ne comprends pas comment je peux aimer une étoile qui m'est tombée dessus. Alors que je n'ai jamais aimée celles qui se sont dressées devant moi. Tu n'es pas n'importe qui, tu es spécial. Alors s'il te plait, juste un peu, soit à moi".
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