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Flowers in my hair and demons in my head. Les rêves sont des parties de moi auxquelles je crois et continuerai toujours de croire. Cerisier. Arts. Écriture. Lecture. Musique. Étoiles. Ciel. Nuit. Douceurs. Rage. Songe. 03 - Rêves réalisés.

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"-Tu sais j'aime bien ton poème. Surtout la fin, il tombe en chut libre. Comme toi.
- Pourquoi je tombes en chut libre ?
- Parce que tu tombes du hauts des étoiles mais tu te rattrapes aux nuages.
- J'ai les pieds sur terre parfois, tu sais.
- Mais tu préfères voler vers le ciel. Même là, tes pensées sont avec elles. Tes mots formes des constellations. Tes murmures des mélodies. C'est pour ça que je t'aime. "
Notre cœur à ses terreurs mais un peu de magie qui apaise nos pleures.
" Tu sais quoi ? Lorsque tu pars loin de moi, je me sens abandonnée. Lorsque tu pars loin de mes pensées, je me sens constamment en manque. Lorsque tu pars loin de ma chaleur, je me sens comme en hypothermie. Lorsque tu pars loin de mon cœur, je me sens comme mourir. Tu détiens déjà mon tout, tout comme tu détiens déjà un de mes rêves. Celui de partager nos folies tout comme le reste de notre vie."
Et juste un peu, je tends la mains vers lui. Encore et toujours en oubliant mes peurs. Avec l'espoir, peut-être, d'atteindre ton cœur.
C'est un peu comme si nos sangs s'étaient mélangés. Un peu comme si mon cœur était remplacé. De nouveaux sentiments sont nés et mes pensées te sont toujours destinées. Puis les papillons dans mon ventre ont pris leurs envole, pour rejoindre les étoiles. Tu es la figure du charme qui à capturer mon âme...Celle que je veux peindre à jamais sur ma toile.
- Hé, tu ne souris jamais. Tu pourrai un peu plus sourire, non ?
(Mais c'est ce que j'essaie de faire papa.)
 - Hé, tu as vu tes dernier résultats, tu crois réussir dans la vie comme ça ? Je croyais que tu voulais devenir médecin.
(Mais papa, je veux être une artiste ! J'en rêve jour et nuit )
- Hé, tu penses vraiment que tes pauvres dessins nourrirons tes enfants plus tard ?
( Mais papa, c'est ma décision merde. Je vie pour mon rêve.)
- Hé, pourquoi tu ne fais que de mentir, pourquoi tu me mens ?
(Mais papa, tu me terrifie. Je te mens parce que tu me fais peur.)
- Hé, qu'est ce que j'ai fais pour mériter une fille pareil, dis moi ?
(Mais papa, pourquoi tu m'as mise au monde, si je te fais si honte ? )
 ....
- Hé papa tu sais quoi ?
- Non ma fille ?
- Je m'en fiche, je vivrai mes rêves quelque soit l'avis des gents. Que tu crois en moi ou non. Parce que moi, je crois en moi et je crois en ce que je vais devenir. Tu n'es plus celui qui guide mon avenir. Je suis libre. Tais toi maintenant et regarde s'échapper ce que tu ne peux plus contrôler.
Parce que je veux juste un peu, te prendre plus heureuse. Parce j'aime ta présence et tes mots chaleureux. Parce que je te veux, je te désir. Parce que je te rêve et veux te découvrir. Parce que ton corps et la plus belle des œuvres d'arts. Parce que je ne veux pas que tu pars. Loin de moi, laisse moi prendre un place dans ton cœur. Laisse moi t'apporter un peu de bonheur. Tu vis en constance dans mes pensées. Je ne veux jamais avoir à te blesser. Je veux te protéger et me lier. À ton présent et pour longtemps. Tu as marqué ta présence dans mon cœur. Tu effaces chacune de mes peurs. Parce que chacun de tes mots doux, sonnent comme des poèmes. Parce que tout simplement, je t'aime.
Lorsqu'elle aperçut les lumières du temps, elle étreignit son cœur une dernière fois. Afin d’apaiser l’affolement de ses battements. 
Elle eut cette impression d'être entourée d'un mur de glace. Alors que son cœur ,lui, se déchaînait. Il hurlait aux étoiles qu'elles l'emportent loin, très loin. Près d'elles et encore plus loin d'ici. La neige continuait de tomber recouvrant, le peu de chaleur qu'elle pouvait encore posséder. L'étreinte du gèle lui brula la peau, l'ébouillanta d'un froid qui en glaçait son cœur. Ses membres succombaient à la fatigue alors que son esprit était endolori. Luttant contre la torture de s'abandonner aux ténèbres. Parce qu'il suffisait qu'elle ferme les yeux. Pour se libérer de son mal, au fond c'est ce qu'elle avaient toujours voulu. Mais pour une quelconque raison, elle se battait...

Puis elle aperçu au loin des lumières, d'un éclat doux mais aveuglant. Elle lutta encore et toujours, elle ne voulait pas sombrer dans l'abysse du monde obscur. Du peu d'espoir qui lui resté, elle tendait la main vers les lucioles de lumières qui se dressait devant elle. La douce mélodie des sirènes, la sombre sensation de pouvoir et la nouvelle émotion de désespoir assouvi. Elle avait découvert le monde des rêves.
C'est en elle que le silence règne enfin dans mon esprit. C'est en elle que les abysses de mon cœur, toujours et perpétuellement endolorie, se libère de leurs ancres de douleurs et qui les enchaines au monde du jour. C'est en elle que les plus belles lumières accompagne sa profonde couleur ébène. C'est ainsi en elle que mes rêves se peigne sur mes toiles, que mes écris se formes du bout de ma plume, que mon univers prend place et que mes tourments et tourmenteurs s'endorme en attendant le monde du jour. C'est en "elle", ma meilleure amie, ma muse, ma partenaire, que je m'éveille de mon profond sommeil. C'est lorsque toi, ma chère nuit, tu m'offre la douce mélodie des douze coups de minuit.. Que mon cœur s'ouvre et s’épanouit. Puis que mon autre moi, celle du royaume du jour, laisse place à celle que je suis.
Lorsque ses lèvres rencontrèrent les miennes pour la première fois. J'ai pu savourer le doux mais légèrement amer, nectar de celle-ci. Ses doux baisers, ses douces caresses et ses mots passionnés résonnant, au creux de mes oreilles lorsqu'il me les susurre. Un tendre et chaud murmure que je ressens jusqu'au plus profond de mon âme, qui augmente les battements de mon cœur et qui chante en mon esprit une mélodie de bonheur. Un bonheur embrasant le désir charnel que j'éprouve pour chacun de ses trais et chacun des aspects de son caractère, un ardent orchestre d'émotions. Qui font chanter en chœur et danser en rythme, chacune des sensations de ses lèvres humides et sa chaleur limpide. C'est comme un rêve qui m'emporte au un royaume de songes, comme le chant d'une sirène, qui nous emporte dans les abysses de l'océan. Une mêlée de décharges émotionnelle dont rien ne vient troubler l'éclat. La simple et douce sensation de nos souffles entremêlés et de nos cœurs chaleureusement liée par l'amour. Un amour, un premier amour, une première histoire...à m'en couper le souffle.
Sous un ciel illuminé par un diamant de lumière. Je tends mon arc, munie de ma flèche. Vers les démons de l'univers. Plongeant mon regard dans les nuages, me perdant dans mes rêves. Attendant patiemment les étoiles, lorsque la nuit se lève. Les merveilles du monde empli le vide de ma solitude. M’éloignant de ces êtres qui ont corrompu mon cœur, de lassitude. Je ne suis plus humaine, je suis un être appartenant à la nature. Éprise des beautés du monde, que je capture au temps par mes peintures.
-Laisse moi te conter une histoire. Une histoire surement passionnante.
-Quelle est-elle ?
-La fougueuse et sombre rencontre entre un "homme-loup" au pelage semblable à une nuit enneigée. Et une jeune fille imprudente, amoureuse de rêves étoilés.
-Un "homme-loup" et une "jeune fille imprudente" ? N'est-ce pas trop cliché ? 
-Peut-être que oui, peut-être que non. Mais sache que leur histoire, leur rencontre et leur destinée...Se passèrent sous une lune, à la couleur d'un camélia teinté d'un rouge passionnée. Où les étoiles et le chant de la nature. Nous emportent dans une féerie pourtant vrais.
-Vrais ? Qu'en sais-tu ?
-Hé bien, parce que je vais te compter ma propre histoire.

Du bout des doigts, je suis le scintillements des étoiles. Peignant des constellations sur ma toile. Je crus, l'espace d'un instant. Oublier mes ténèbres ainsi qu'arrêter le temps. Par la simple mélodie de mon chant, porté par le vent.
Embrasé par la sombre nuit d'hiver qui m'enlace de ces douces neiges froides. Je me laisse sombrer dans l'éclat de mon âme. Sans penser à mes moroses autre moi. Je ne fais rien d'autre que me laisser bercer par la délicate mélodie des étoiles. Le chant d'une sirène d'espoir et les lumières de mes lucioles du soir.
J'attrape de mes fines mains. Les poussières de rêves étoilés s'étant échappées du sombre ciel.
Je t'offrirai la beauté des univers. Entre le ciel et la terre. Je t'offrirai ces odeurs de saisons. Et les mélodieux chants du vent. Nous danserons en harmonie sous un pond. Qui relira les étoiles aux pétales du printemps. Je te montrerai ces voies lactées. Celles dont tu as sens cesse rêvé. Puis nous chanterons séraphiquement. Entourés par les danses des lucioles à travers le temps. C'est ces beautés du monde, que je t’offrirai.
En ces jours pluvieux, où mon âme s’égare parmi les nuages tintés d’un gris mélancolique. Je regarde à travers ma fenêtre. Les larmes d’un ciel qui demande que l’on le regarde. Pour que nos plus horrible cauchemars s’emportent grâce à la mélodie des brises d’automne. Pour que nos moroses songes s’apaisent grâce à nos larmes. Pour que ces roses fanées revivent de leurs souffrances…Afin apporter de la douceur à notre âme.
"La tête plongée dans un étang d'étoiles de nuit. Et les lucioles sur terre dansant tout en mélodie."
Rêvie.

"Cher monsieur le lapin blanc, Je suis désolé de devoir vous fuir si hâtivement. Mais le simple regard que vous me portez. Me rend pleine de désirs, je me languie de vos yeux assombrit. Vos lèvres et vos trais m'obsède. Puis le simple ronronnement de votre grave voix. Entendu par le destin qui m'eus joué des tours. Me pris au dépourvu. Je ne peux rester plus longtemps à votre poursuite. Terminez seul votre course. Quelques soit le taux d'anxiété lorsque je vous veux. Je m’interdirai à jamais. Le caprice de votre cœur que je souhaite capturer. Je trouverai mes merveilles seule ou au près d'un autre monsieur lapin. " Rêvie.
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