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Flowers in my hair and demons in my head. Les rêves sont des parties de moi auxquelles je crois et continuerai toujours de croire. Cerisier. Arts. Écriture. Lecture. Musique. Étoiles. Ciel. Nuit. Douceurs. Rage. Songe. 03 - Rêves réalisés.

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Là tout de suite, dehors il y a des éclairs, de la pluie, une tempête comme si le ciel était en colère. Le vent hurle, les branches des arbres dansent. La lune malgré tout est apparente et éclaire ce spectacle de ses doux rayons . Et je pense à toutes sortes de choses. Je sombre dans mes pensées, des rêves lucides se forment et j’essaie petit à petit de délier mon imagination à mes rêves. Mais je n'y arrive pas. Qu'est la réalité au fond ? Je ne sais pas. Je ne veux pas le savoir. Je suis un peu perdue dans mes songes. Je ne veux pas en sortir, je me sens si bien, sereine. J'ai juste envie de continuer à savourer ses violentes brises d'été, ce ciel tapissé d'étoiles, la colère du monde. Mon cœur peut bien être endolorie, je trouverai continuellement ce moment magique..
Mes rêves éclosent chaque jours, comme un jardin fleuri au printemps.
J'aime ce temps de pluie. La nature semble triste alors qu'elle se nourrit. Les nuages semble sangloter alors qu'ils suivent juste leurs cycle. La mélodie de la pluie apaise mes maux, mon cœur et mon esprit. C'est comme si le ciel pleurait pour moi. J'aime, j'aime, j'aime la pluie. Je ne cesserai jamais d’aimer ses tons grisâtres et la douceur de sa symphonie. J'aime, j'aime, j'aime tant la pluie. Elle est comme une douce berceuse...
J'ai cette envie d'ouvrir ma fenêtre et de crier à qui veut l'entendre que "le bonheur est partout". Cette envie surprenante qui m'emporte comme la brise d'été qui fait danser les vagues. Ce désir bouillonnant en moi, qui me donne envie de chanter au ciel que "les rêves sont réalisable". Puis cette rage qui éclos en moi et me pousse à conter aux étoiles que "les cauchemars sont éphémère mais les songes éternelles".
Je veux munir à toi et vivre une grande aventure. Aussi énorme que le ciel tapissé d'étoiles que nous contempleront chaque nuits.
"Il n'y a pas beaucoup de chose que je sais, mais de ce que je sais, c'est que entre la culpabilité et la peur... J'ai choisi le bonheur."
Fran bow
Elle était comme une rose, à la fois jolie et piquante. A la fois fragile de ses pétales alors qu'elle surmontée tout les obstacles, comme la rose, les saisons. Perdue dans sa morosité, elle continue tout de même de rêver. C'est un mélange de tristesse et de tendresse.
Un rêve teinté de couleurs
Écoutant les chants de la douleur
Toute ces années à attendre un espoir
Qu'importe les désinvoltures, je persiste à y croire
Me sentir emporté par mon imagination
Ces autres me demandent de reprendre raison
Mais je préfère sombrer que devenir leur pion.

Non ce n'est pas un simple miroir qui te montreras ta beauté. Non il ne te le fera pas voir à travers un reflet. Parce que c'est en ton cœur que tu es lumière et juste pour cela tu dois en être fière. 
Ne t'en va pas rejoindre le ciel parce que tu es malheureux et laisse la vie te prouver qu'elle peut encore te rendre heureux. 
Tu es des morceaux de soleil qui se meurent, pour briller le soir à pas d'heure. 
C'était doux, sucré comme du caramel. Une pointe d’acidité cachée par la tendresse du miel. Un peu fougueux presque dangereux. Une espèce de rêve poser sur mes lèvres. Ce baiser qui m'a fait chavirer, je ne peux plus m'en séparer. Bordel, regarde ce que tu fais de moi. Je peux plus vivre sans ton goût et mes pensées pour toi.
Je sombre doucement dans l'abysse de mes sanglots, mes pensées se perdent parmi les tiges des roseaux, mes espoirs se brisent et suivent les cours d'eau. En attendant ma mort et le croassement des corbeaux.
Où est la lumière qui manque à mon obscurité ?
Je veux sentir ta peau contre la mienne, tes lèvres dévorer chaque parties de mon corps, tes murmures embraser mon être et tes "je t'aime" faire fondre mon cœur. Je veux te sentir en moi tout en partager nos chaleurs. Je veux sentir nos souffles se mélanger, nos voix chanter et nos corps danser en harmonie. Me fondre dans un rêve mais ressentir cette douce douleur qui me montre que je suis encore en vie. Je veux te voir toi, entièrement dévêtu sous le clair de lune et te faire voir les étoiles comme tu ne les auraient jamais vue. Je n'en peux tout simplement plus attendre ta venue.
La vie est une histoire et nous en somme le personnage principal. C'est plutôt fascinant de se dire que chaque jours, à chaque seconde, des histoires commencent pendant que d'autres se terminent.
Émotions
Vide : Je ne sais plus vraiment ce que je ressens, c'est un méli mélo d'émotions si puissant que j'en pers la raison. Les questions ne cesse de tourbillonner en mes pensées que j'en oublierai presque mes démons.
Douceur : Lorsque j'admire les merveilles du monde offertes à mon quotidien, j'ai l'impression que plus rien ne peut m'arracher à mes joies. Le ciel et son festival de couleurs , les fleurs et leurs parfums, la mélodie de la pluie, les rayons du soleil à travers les nuages. Le chant de la nature, les brises d'été...
Songe : Chaque jours je me pers de plus en plus dans mes rêves, lucide comme d'ambition. Ils me maintiennent en vie, me rendent heureuse et me font croire en l'avenir. Ce sont mes espoirs rigides.
Émerveillement : Les étoiles sont magnifiques, les planètes se voient aux heures où je devrais probablement être couché. Les nuages ont de jolies formes et le monde est coloré. Mes yeux apprécient.
Envie :  Je n'ai jamais vraiment envier, je n'ai jamais était envieuse des autres alors je ne sais pas ce que j'envie... Mais mon cœur ma donner pour ordre de l'écrire. Oh et à bas les mensonges, oui je suis jalouse !
Impatience : Je me renferme sur moi et j’attends "sa" venue. Je veux rencontrer cette personne qui me fera comprendre que je suis importante à ses yeux, avec qui je construirai un rêve. 
Paresse : J'ai perdu un peu de motivation et non de rage, je n'arrive plus à me motiver pour mes responsabilités de... berk ce mot qui me dégoute tant... responsabilités "d'adulte". Je veux pas l'être.
Nostalgie : Je pense au passé, je rêve de l'avenir et je vis le présent. Je me sens nostalgique de certaines émotions d'enfance comme l'innocence ou plutôt de ce sentiment de ne jamais se sentir seule. 
Agonie : J'agonise de la personne que je suis.
Lassitude : Des humains, ils me fatigue, mes amies, mes parents, les inconnus, les connus, tous. 
Joie : Je n'est pas à avoir de raison d'être joyeuse n'est ce pas ?
Solitude : Je me sens seule, terriblement et inéluctablement seule.
Pensive : Mes pensées sont et à jamais tournées vers les étoiles et la voie lactée.

Amour. C'est un paradoxe pour moi. Ce mot me fatigue, parce que c'est un sentiment qui met inconnu mais que je connais pourtant plutôt bien. Je le rêve, je le pense, je le veux mais j'ai juste envie de le détesté et de l'oublier. Au fond, j'ai toujours dis que je ne voulais pas aimer avant d'apprendre à m'aimer moi-même. Je ne veux pas m'attacher à quelqu'un avant d'avoir trouver ce qui m'attache au monde et je ne veux pas offrir mon cœur à quelqu'un si je ne sais pas le protéger moi-même. Pourtant je veux partager mes rêves, mes espoirs, mes peines et mes joies. L'attirance, le désir, l'envie, la jalousie, le regret,  bordel je ne veux pas de ça. Mais au fond, masochiste qu'est l'humain... J'y serai accro une fois que j'y aurai gouté, parce que ça deviendra mon élixir de vie, ma tentation. Amour je me promet quelque chose, lorsque je te  connaitrai, je brillerai pour moi avant de le faire pour toi. 
Je me sens doucement, fébrilement et lentement emporté vers un autre monde. Celui où je me réfugiais, il y a quelques années. Celui qui formé une barrière contre mes pensées. Ce monde où je me sentais en sécurité, personne ne pouvait m’atteindre, j'étais la seule à me comprendre et c'était mieux ainsi. Je ne me sentais jamais seule, ni incomprise et encore moins tiraillé par ma propre colère. C'est une bien triste ironie, me revoilà au pays de la folie. Mon fameux monde de merveilles, celui où je trouvais refuge, lorsque je ne parvenais plus à trouver le moyens d’arranger mes tourments. Celui où l'heure ne compte plus, les saisons ne changent plus, là où n'existe plus le"temps". Le temps, lui je le connais bien. Je lui cours après depuis des années. C'est celui qui me tiens prisonnière, m'angoisse et me torture. "Je suis en retard", "Je n'ai plus assez de temps"...
Cesse de bavardages, j'ai rendez-vous avec monsieur le chapelier, il doit encore m'expliquer comment continuer à rêver et tout cela autour d'une bonne tasse de thé.

Je ressens de plus en plus ce manque, ce vide en moi, ce paradoxe entre mon envie de solitude et le crie aiguë en moi, qui vous hurle : "Ne me laissez pas seule". J'ai de plus en plus de mal à soutenir la contradiction entre mes émotions, je ne me comprends plus, je suis perdu. Bordel répondez moi, entendez mes cries d'agonies. Non... En fait ignorez-moi, laissez-moi tomber dans ma triste ironie. Non ! Ne partez pas, écoutez-moi, je veux sentir une présente chaleureuse à mes côtés. Qu'on prenne dans ses bras en me promettant de jamais me m'abandonner. Puis non, j'ai pas besoin de vous, je dois apprendre à me débrouiller seule et vivre par moi-même. Arrêtez, non ! Pourquoi vous vous en allez ? Pourquoi vous hésitez ? Cessons ce paradoxe, je vais juste terminer de pleurer en mon cœur, parce que mes larmes ne coules plus depuis longtemps. Je vais arrêtez d'être si pitoyable, je n'en est plus le temps. "Les pensées vers étoiles, les peines peintes sur une toile, ne jamais abandonner et ne rien lâcher. Crois en soit et en ses rêves. " Voilà ce que je me suis promis.
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