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Flowers in my hair and demons in my head. Les rêves sont des parties de moi auxquelles je crois et continuerai toujours de croire. Cerisier. Arts. Écriture. Lecture. Musique. Étoiles. Ciel. Nuit. Douceurs. Rage. Songe. 03 - Rêves réalisés.

Suivre
c'est en nous que règne une grande magie,
la volonté de surmonter les périples de la vie.
ne pas flanché, continuer à garder espoir,
tel la lumière qui existe pour nous éclairer dans le noir.
il est normal de se sentir parfois incompris et abandonné,
c'est cet éclat qui fait jaillir en nous l'envie d'avancer.
il nous guide dans nos tempêtes de tourments,
à combattre l'agonie qui s'intensifie avec le temps.
il nous éclaire dans nos plus moroses journées, très souvent,
il nous pousse doucement à nous évader...
dans un tout autre monde bien coloré,
recollant les morceaux de nos cœurs brisés.
cette lumière, tout comme une luciole, scintille en nous.
à croire en elle, on nous pensera insouciants, idiots ou fous,
qu'importe c'est comme ça qu'on a décidé d'être heureux.
elle transforme un rien en quelque chose de merveilleux.
à jamais, par la force des étoiles, des rêves et des couleurs,
nous vaincront même les plus terribles douleurs.
en nos plus profonde douleurs, nait le plus beau des bonheur.
aucun grands guerriers ou héros n'en devient un, sans quelques cicatrices et quelques goutes de sangs.
alors allons y, laissons nous portez par le vent,
laissons ainsi les ailes du rêve se déployer.
pour enfin voler en quête de liberté...
tu es un peu comme cette petite lumière qui éclaire les ruelles sombres de minuit.
à la fois chaleureuse et porteuse d'espoir, réconfortante mais angoissante,
j'avais beau ruminer des heures à tes paroles blessantes,
je savais au fond qu'elles n'était que vérité, une manière de m'apprendre la vie.
après tout tu m'as tout appris à regarder la nature s'épanouir, le ciel changer de couleurs.
tu m'as également aider avec ardeur à dompter mes démons,
avec toi tout n'était que renouveau, le temps ne paraissait plus long,
tu m'as fait voir les beautés du monde, même lorsque mon cœur était empli de douleurs.
plusieurs personnes ont voulu t'écraser, te piétiner, mais tu ne t'ai jamais laisser faire.
tu avais beau être seule, de tous abandonné,
tu m'as porté tant bien même tout semblé s'écrouler,
tu aurais eu la force de rivaliser avec des super-héroïnes, grâce ton esprit de fer.
tu m'as sauvé d'un calvaire profond avec ta bravoure et ton courage.
tu souriais même dans les plus complexes des situations,
à toujours avoir des arguments pour tout, à vouloir avoir raison,
c'était fatiguant de te voir te battre même dans l'agonie avec rage.
tu n'essuyer pas mes larmes, ces rares fois où elles coulaient.
caressant seulement mes cheveux, me répétant: "c'est de nos douleurs que naitra le bonheur",
je ne comprenais pas à cette époque, c'était un peu trop utopique dans tout ce malheur,
mais aujourd'hui j'ai médité à tes paroles et je n'ai plus abandonné.  
par ce que j'ai décidé de vivre sans regrets, c'est ce que je transmettrai dans le futur par mon art.


l'aurore prend place, les ombres s'effacent,
les brises du matin, ma tasse de thé à la main,
la chaleur que m'apporte mon pull en laine, me fais oublier mes peines,
le regard perdu devant la dance des couleurs matinal, en ses matins banals.
une douce musique aux oreilles, les doux rayons du soleil.  
ces doux débuts de journées, qui apaise mon cœur parfois désemparé.
mes pensées s’emmêlent, je n'ai plus les idées clairs
mon esprit endolori,très souvent en colère,
je suis lassé des gents, je me renferme jour après jour,
la tête dans les étoiles comme toujours.
je reste rêveuse, avide de songes et de couleurs,
fatigué de ces gents qui pleurent constamment leurs malheurs,
"le monde est cruel et laid, je ne fais que souffrir..."
je voudrai leurs crier, "cesser de mentir".
le monde est magnifique, ils sont juste aveuglés. 
par les deux, trois combats de la vie, qui les sont soit disant brisés, 
ils se morfondent dans leurs mélancolie,
passant à côtes des bons moments de la vie,
parce qu’évidement tout autour d'eux est noir  et sombre,
ah mais oui...pardonnez moi, ils sont dans le pénombre !
arrêtez un peu la vie est belle, elle n'est ni noir ni blanche, juste coloré,
toute ses couleurs sont importantes alors souriez,
il reste toujours de l'espoir même dans le noir,
c'est vous qui écrivez votre histoire.
alors accrochez vous à vos rêves et vous ne tomberez pas,
ne me dites pas qu
e vous n'en avez pas, je ne vous croirez pas. 
les cauchemars sont éphémères alors que les rêves éternelles.
 
Il y a ces jours, où je tente desserrement d'étreindre mon cœur,
afin d’apaiser ses battements insensés et emplis de douleurs.
j'essaie d’apaiser mes maux en écrivant.
et farder mes sanglots par mon chant tremblant.
je me sens à la fois vide et pleine d’émotions.
le paradoxe lié à mon esprit en constante contradiction.
j'essaie pourtant de positivé et d'apprécier les beautés de la vie.
nourrissant la passion de mes rêves allouvi. 
ravivent le brasier de mon cœur endolori.
raniment mes sourires endormis.
oubliant mes sordides malheurs.
ne songent qu'à mes pensées avives de couleurs.
pour enfin m’adonner à l'imagination, qui triture ma raison.
j'ai traversé des océans de tristesse,
loin de l'amour et de la tendresse,
m'aventurant seule vers de sordides rivages,
sans me laisser berner par mes mirages.
j'ai combattu seule des tempêtes de chagrin,
me laissent naviguer vers demain,
et l'immense ciel étoilé pour guide,
je vogue vers l’horizon limpide
.
dîtes moi, est ce que dans ce pénombre il reste de l'espoir ?
et même dans ce cas là, puis-je continuer à y croire ?
je me sens comme piégé, dans la triste réalité,
si le temps avait à s'arrêter, je me perdrai dans mes pensées,
à réfléchir sur l'envie qui me pousse à continuer à vivre.
ses questions m'achève, j'ai l'impression d'être ivre.
vous qui détenez la réponse, dîtes la moi.
quel sens à ma vie dans ce triste désarroi ?
je n'ai en fait pas réellement besoin de réponse,
la vie continuera à jamais à me piquer tel une ronce.
ou bien est-ce mon propre cœur qui m'a tué ?
m'incitant à partir, sans me retourné.
m'évader, rejoindre les étoiles, comme je l'ai toujours rêver.
peut être est-la ma vrais place, au prêt de mes songes colorés.
alors au diable la raison, je sombrerai dans mon imagination.
prenez moi pour naïve ou grande rêveuse,
mais c'est comme cela que j'ai décidé d'être heureuse.
c'était fougueux, ses soupirs formés des mélodies, alors que mes mains dansaient partout sur son corps. tout paraissait doucereux, mais je n'avais besoin de rien de plus que de sentir le rythme agité de son cœur, battre très fort contre le mien. lorsque ses yeux me regardaient emplis de colère, cachant leurs tristesses, je lui criais que tout irai bien, l'embrassais jusqu'à qu'il se calme. le faire s’abandonner à mes caresses, aspirer ses peurs avec mes baisers, éloigner sa colère avec mes sourires, même si je n'en étais pas sûr moi même, tout ira bien, parce que même si les soucis s’accumule le soleil continue de se lever, nos cœurs de battre, nos chaleurs de se mélanger, ça ira bien tant que nous étions tout les deux en vies que nous partagions cette maussaderie. tout ira mieux demain. c'est ce que je lui ai répété chaque jours.
j'avais pensé voir en lui un rêve,
qu'il serait comme le soleil qui se lève,
une vague de lumière dans mes pensées,
en espèrent qu'il puisse illuminer mes journées.
mais j'ai oublié ce que je me suis toujours promis,
briller pour moi avant de briller pour lui.
c'était nos petits jeux bien dangereux,
ils se terminèrent lorsque l'un de nous tomba amoureux.
oui, seulement un de nous deux...
tu ne sais pas ce que tu veux, indécis par moments mais sûr de toi en même temps. un vrais paradoxe à toi seul. tu suis les mouvements des vagues parce que tu aimes te sentir libre et voguer. cela te fais ressentir une certaine satisfaction de comprendre et d'analyser les gents. tu aimes tout contrôler, mais je sais au fond de toi que tu es perdu, que tu te cherches et recherche cette personne qui fera éclater cette tempête dans ton océan. cette unique personne qui te feras voir le monde toute autrement, la vie d'un tout autre sens, les malheurs de la vie d'une douleur plus douce. celle qui est comme un mirage, qui provoquera tes rivages, cette personne totalement magique. mais alors ouvre tes jolis yeux pleins de merveilles, souris-moi et illumine moi comme un soleil, parce que c'est moi ton rêve.
et je t'écoute me murmurer tes rosseries,
je perds mes mots lorsque tu me souris,
alors que je cris à mon esprit de te fuir,
mon cœur sait que tu veux me nuire.
mais mon corps te laisse me caresser,
sans résistance je te laisse m'embrasser,
tout doucement tu me fais m'abandonner,
avec passion dans une cadence rythmée.
et je tombes,
et je succombe,
en cette douce affliction...
c'était une petite fille, pleine de joie et toujours souriante,
elle ne rêvait que d'aventures, désirant parcourir le monde entier,
innocente, insouciante, toutes ses journées étaient attrayantes,
puis un jour elle comprit que quelque chose d’étrange se passé chez elle,tout n'était pas tendre,
pas comme les autres enfants,
pourquoi y avait-il autour d'elle des cries et du sang ?
tout n'était pas joyeux et plein d'amour,
pourtant c'est ce qu'elle désirait tous les jours.
de rentrer accueilli par des rires et des sourires.
mais comment avait-elle pu ne pas voir, ses désirs lui paraissaient maintenant dérisoires.
puis elle grandit...
l'enfance fût un temps plutôt court...
Leurs courbes et leurs douceurs,
leurs délicatesses et leurs tendresses.
avec quelques mots elles vous leurre,
vous vous languissez de leurs caresses.
sont-elles des mirages ou bien des rêves ?
elles vous charmes tout doucement,
et lorsque le soleil se lève.
elles vous attirent comment des sirènes avec leurs chants.
le regard vague souvent à fixer ce ciel que j'aime tant, je rêve d'aventures tentant d'oublier mes tourments, je souris toujours et garde espoir, ça me suffisais d'avancer et de continuer à y croire. mais me voilà surprise de sentir mes larmes couler, le long de mes joues, elles ne veulent pas s'arrêter, j'essaie de chasser toute cette maussaderie, mais comment cesser de fuir dans mes rêveries ? je dois affronter ce que vous appelez la réalité, alors viens, je t'attends et t'affronterai, ma morosité peinte sur ma toile, et mes pensées prêt des étoiles. tout ce joue à présent entre moi et moi...
Libre comme l'air et douce comme les brises.
Pourquoi je devrais choisir entre la réalité et l'imaginaire alors que je peux simplement transformer l'un en l'autre.
Je veux découvrir les merveilles du monde, tout visiter, tout piller du regard. Afin de tomber folle amoureuse de ce monde que tous disent si laid.
J'entends encore d'ici leurs plaintes sur la vie, je contemple encore leurs sourires qui m'illuminer, j'écoute toujours les chaleureux tons taquins de leurs voix. Je ressens encore la chaleur de leurs présences, la douceur de leurs touchés. J'écoute leurs rires enivrer mes oreilles comme une joyeuse mélodie. Alors que je songe sordidement en mon esprit que tout cela deviendra, peut être nostalgie...
Alors que mes larmes coulent le longs de mes joues en ce moment précis, je me dis que c'est plutôt rare parce que cela n'arrive pas souvent que je pleure. J'essaie de positivé et riant de moi-même. Depuis quand n'ai-je pas sangloter ? Je ne sais point, je ne m'en souvient plus. Mon cœur s’alourdit petit à petit. Mes pensées n'apaisent plus mes maux et même lorsque je tente de dire ce que je ressens, je n'y parviens pas. Ma voix se noue, alors je chante ou écrit. C'est sûrement le seul moyen pour moi de m'en remettre. A chaque fois que ma gorge se contracte et m'empêche d'éclater en sanglot, je chante. A chaque fois que mes larmes tentent de couler, j'écris. Puis à chaque fois que je commence de tomber, je rêve. Là tout de suite, je ne vais pas bien du tout. Mon cœur me fait mal, ma tête va éclater et mes larmes ne cesse de couler. Tout les jours j'essaie d'apporter de la lumière ici. Par mon art et mes mots écrient avec cette plume que j'ai lié à mes songes. Mais là, je n'y arrive pas, pas aujourd'hui. Je me suis forcé à sourire et celui-ci et retombé pathétiquement. Si je suis plus capable de chanter, de sourire ou de pleurer... Qu'est ce que je suis capable de faire ? Je... ne... sais...plus.... Mais enfin où est mon pays des merveilles, je l'appelle mais il ne vient pas. J'ai toujours eu l'habitude de me cacher en lui pour fuir mes douleurs. Alors je vous le demande, à vous qui me lisez, peut être. Où est-ce que je suis ?
Ces paroles me revenaient à l'esprit comme une douce mélodie, auquel je ne peux me défaire. Alors je tâte doucement et délicatement mes lèvres, me demandant quel goût auraient pu avoir les siennes. Et je sombre profondément, lentement, dans mes pensées. Alors que mes rêves lucides se forment à petits rythmes. Je repense à sa chaleur, son odeur et ses sourires. Puis je finis par me dire que je ne suis pas si mal, sans sa présence à mes côtés...Oh arrêtons les mensonges. Oui chaque parties de lui hantent mes songes. Et qu'importe si mon cœur est endolori, je ne peux aujourd'hui, oublier sa mélodie.
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