c'était fougueux, ses soupirs formés des mélodies, alors que mes mains dansaient partout sur son corps. tout paraissait doucereux, mais je n'avais besoin de rien de plus que de sentir le rythme agité de son cœur, battre très fort contre le mien. lorsque ses yeux me regardaient emplis de colère, cachant leurs tristesses, je lui criais que tout irai bien, l'embrassais jusqu'à qu'il se calme. le faire s’abandonner à mes caresses, aspirer ses peurs avec mes baisers, éloigner sa colère avec mes sourires, même si je n'en étais pas sûr moi même, tout ira bien, parce que même si les soucis s’accumule le soleil continue de se lever, nos cœurs de battre, nos chaleurs de se mélanger, ça ira bien tant que nous étions tout les deux en vies que nous partagions cette maussaderie. tout ira mieux demain. c'est ce que je lui ai répété chaque jours.