Il y a ces jours, où je tente desserrement d'étreindre mon cœur,
afin d’apaiser ses battements insensés et emplis de douleurs.
j'essaie d’apaiser mes maux en écrivant.
et farder mes sanglots par mon chant tremblant.
je me sens à la fois vide et pleine d’émotions.
le paradoxe lié à mon esprit en constante contradiction.
j'essaie pourtant de positivé et d'apprécier les beautés de la vie.
nourrissant la passion de mes rêves allouvi. 
ravivent le brasier de mon cœur endolori.
raniment mes sourires endormis.
oubliant mes sordides malheurs.
ne songent qu'à mes pensées avives de couleurs.
pour enfin m’adonner à l'imagination, qui triture ma raison.