Je ressens de plus en plus ce manque, ce vide en moi, ce paradoxe entre mon envie de solitude et le crie aiguë en moi, qui vous hurle : "Ne me laissez pas seule". J'ai de plus en plus de mal à soutenir la contradiction entre mes émotions, je ne me comprends plus, je suis perdu. Bordel répondez moi, entendez mes cries d'agonies. Non... En fait ignorez-moi, laissez-moi tomber dans ma triste ironie. Non ! Ne partez pas, écoutez-moi, je veux sentir une présente chaleureuse à mes côtés. Qu'on prenne dans ses bras en me promettant de jamais me m'abandonner. Puis non, j'ai pas besoin de vous, je dois apprendre à me débrouiller seule et vivre par moi-même. Arrêtez, non ! Pourquoi vous vous en allez ? Pourquoi vous hésitez ? Cessons ce paradoxe, je vais juste terminer de pleurer en mon cœur, parce que mes larmes ne coules plus depuis longtemps. Je vais arrêtez d'être si pitoyable, je n'en est plus le temps. "Les pensées vers étoiles, les peines peintes sur une toile, ne jamais abandonner et ne rien lâcher. Crois en soit et en ses rêves. " Voilà ce que je me suis promis.