Il n'y qu'un pas 

Celui de l'ange qui veille

À la grâce du regard 

Je pousse ma porte 

Et le chemin s'ouvre 

Magique 》 

Parfois je me noie.

Parfois je ferme les yeux, je respire profondément et même si je suis au milieu de nul part, que je suis dans l'inconnu et dans des eaux terrifiantes - faut le dire la mer c'est affreusement effrayant - pourtant, je vais bien, j'arrive à y trouver de la beauté.

Les angoisses dans mes entrailles et dans mes boyaux.

On n'oublie pas que les roses ont des épines, des ronces.

Il faut juste savoir doser entre la floraison et les broussailles 

Dur de les dompter tout de même.

J'oscille entre nuit et jour.