Profil (76)
Questions/Réponses (18)
"Le genre est une construction sociale"

Ah oui bien sûr, donc les gens trans n'ont pas besoin de transitionner étant donné que c'est juste social, ce n'est donc rien de plus que des envies esthétiques, comme s'injecter du plastoc dans le cul. Du coup faut pas rembourser les opérations et la thérapie hormonale, vu que c'est pas des soins nécessaires.

C'est exactement ce que vous dites en répandant ce genre de conneries. Vous êtes la cause des suicides de la future jeunesse trans, quand votre propagande aura fini d'anéantir tout aspect biologique et scientifique du genre et du sexe, et que plus aucune personne trans ne sera prise réellement au sérieux puisque ça sera juste vu comme une identité politique et sociétale.

Aaaaah qu'est-ce que vous êtes de bonnes personnes. ♥
Je me suis enfin décidé à supprimer mon compte reddit parce que je ne faisais que de m'énerver, d'insulter tout le monde et de leur dire de se suicider, ce qui me donnait envie de me faire du mal et j'étais toujours angoissé. J'espère que je vais aller mieux maintenant
A journey through damnation. It grows within me, breathes within me. A dark plague which has risen in my mind. Nothingness, emptiness and total desolation. The pain grows day by day. My mind screams for silence. "Unleash the pain, set it free and let your life be swallowed by the eternal darkness. Join us in our common solitude," it whispers to me. "And we will conquer our inner demons." Deep, deep within it is, and it is waiting in a never-ending nap blood, so rare, so unique in the right surroundings. It flows so uniquely down the sides of the tub, a beautiful sight in the eyes of the beholder. Of me. Nothing was ever more pure than this. The pain within rises as the darkness embraces me. "It had to be done. And so it was," yes, so it was. The eternal darkness sets me free and unleashes my inner demon. Life revisited in my true form. Set your mind free, set it free and join me in an early death.
The prison of mirrors... we can't see,
Yet trapped we are... by its reflection,
It sees all fear and watches our downfall,
It will rip all lies and pride from the soul.

You are all... all that you hate,
Force fed memories, suffer humiliation,
Victim of darkness, of the inner hidden kind,
I am the eye within the gleam,
Shatter before a mirror that stares into a shallow soul.

Poison yourself... revel in waste,
Poison yourself, in the name of evil... destroy yourself.

I will always be the reason to hate yourself,
Mirrors... will oppress your mind,
And follow all... all that you hide,
Blind, step inside a subconscious warfare to guide the oblivious,
Mirrors of torture, unforgiving expose your sins,
Your suicide by the mirror's shattered blade.
In the name of their bastard son
They murdered our forests and beliefs
So your god will forgive?
Yet I shall never!
Our time has come
Hatred was the spell
Chosen as our weapon
Murdering, killing one by one,
Stench of death reaches the sky,
And this time their heaven falls
In the storms of red revenge.
Helkaldur vetur
Hírist í myrkrinu
Kaldur inn að beini,
Með vori dvínar von um bjarta daga,
Eitt árið enn
Í klakaböndum dag og nótt.
Je ne crois pas au multiculturalisme ni à la mondialisation. Les deux sont voués à l'échec.

Est-ce vraiment de la xénophobie de ne pas en croire en la mondialisation et au multiculturalisme? De mon point de vue, c'est juste par volonté d'échapper à la folie. Est-ce que quelque chose vous semble sain dans la façon dont le monde fonctionne aujourd'hui? On est plus que jamais dans un âge de désespoir, la cause est juste devant vos yeux mais vous la rejettez et proclamez la tolérance et l'ouverture d'esprit sans réaliser que c'est en fait problématique.

L'humanité est condamnée au désespoir tant qu'on forcera des cultures si différentes à vivre ensemble, et tant que les religions abrahamiques séviront.

Abolissons le christianisme, le judaïsme et l'islam et revenons à un monde formé de peuples aux différentes cultures et croyances anciennes et voyez le monde guérir de ses blessures qui autrement s'avéreront destructives.

L'humain forcé de vivre dans un monde tel que celui dans lequel nous vivons actuellement n'est qu'une bête possédée par la haine et dont le seul but est la destruction.

Bien sûr un tel changement n'arrivera jamais. Les portes sont grandes ouvertes au nihilisme - sous sa forme la plus sombre. Profitez bien de vos vies remplies de souffrance, de haine, de désespoir et de non-sens.
I find myself in a puddle of blood, knowing it was an illusion.
As I drop lifeless to the floor.
Follow my footprints of blood: my steps of blood.
Leave everything behind you and step into my reality.
Where no happiness is found.
Feel the wind torment your skin.
Feel the sun burn your skin and turn to stone.
Feel my razor blade tongue and cut yourself deep and desirably.
Let the blood run in an overflowing stream and submit to my suicide and yours.
Nothing but death in this life is certain.
You may be in some state of happiness but none of this will stay real.
You are trapped in a spider's web.
You might as well just kill yourself.

Et le dsbm c'est CLAIREMENT pas les pro-ana où on s'encourage à se détruire. Non. Dans le dsbm je l'ai déjà dit mais c'est "juste" là pour accompagner la souffrance, tenir compagnie, faire se sentir moins seul, partager des moments difficiles, aider à se défouler. Oui ça contient souvent des idées nihilistes, mélancoliques et pessimistes - ça reste du black metal - mais de façon très... soulageante? C'est assez dur à expliquer, mais il y a une certaine paix, oui une certaine paix de l'âme, un certain calme, très beau mais très confus et étrange, mêlé d'angoisse et d'incertitude, mais je le sens personnellement, et je sais qu'on est beaucoup à le sentir. Et pas juste le dsbm, mais le black metal en général.

Comme j'ai vu un gars le dire une fois: "Black metal is Humanity's cry out for a return to Nature."
Et comme mon ami qui m'a aidé à me lancer là-dedans a dit, le black metal c'est typiquement l'équivalent musical et moderne des poètes maudits tel que Baudelaire. (S'il avait vécu à notre époque il aurait fait du black metal, c'est sûr!)

C'est émotionnel, poétique, cru, à vif, tourmenté, torturé, mélancolique, déchirant, mais bordel que c'est beau et qu'est-ce que ça fait du bien.

Alors certes, ce n'est pas pour tout le monde et c'est très spécial. Certes ça n'aide pas spécialement quelqu'un à vaincre la dépression ou les pensées suicidaires (et comme dit une vraie thérapie reste nécessaire pour tenter de s'en sortir) mais... ça aide dans le sens où ça accompagne. C'est peut-être très passif et je suis sûr que beaucoup pensent qu'accompagner quelqu'un dans sa douleur est aussi horrible voire pire que de directement dire à quelqu'un de se suicider ou de se couper. Mais voilà, moi c'est ce dont j'ai besoin personnellement.

On espère bien sûr toujours un jour pouvoir s'en passer, et on espère toujours aussi qu'un groupe passe du dsbm pur et dur à du post-black ou du melancholic black car ça voudrait qu'ils vont mieux tout en gardant leur part de mélancolie, de "spleen".

Mais voilà. C'est pas le diable. C'est pas un genre musical horrible et dangereux. Si tu veux que ça le soit oui ça le sera. C'est comme tout. Mais en l'état, intouché, sans interprétations malintentionnées, c'est juste... un témoignage poignant de la douleur humaine, du fardeau d'avoir une conscience, de souffrir d'alcoolisme, d'abus de drogues, de viols, de violences familiales, de maladies mentales, d'isolation sociale, voire du traumatisme d'une enfance passée dans un pays en guerre civile.

Mais que de telles souffrances un art peut jaillir et qu'on peut trouver de la beauté partout, et que la vie peut continuer malgré tout - ou s'éteindre, en paix.

Vocaliste de Psychonaut 4 (groupe de post-soviet suicidal black metal) avec son fils. Voilà. En apparence c'est pas grand chose comme photo mais je la trouve puissante. La vie continue, malgré toutes les horreurs qu'on a connues, et on peut trouver une raison de vivre, une certaine joie de vivre, n'importe quand, chez n'importe qui, n'importe où...


Je n'ai pas tellement de place où "me plaindre" donc je le fais ici, c'est un peu le but du site de toute façon?

Bon. On m'a beaucoup associé à mes goûts musicaux, souvent les gens se souviennent de moi pour ça, notamment Radiohead, Sleeping At Last, Placebo et... Bring Me The Horizon. C'est ce dernier qui va être important ici. Surtout leur période deathcore et post-hardcore.

J'ai toujours été fan. Depuis que j'ai découvert YouTube, donc depuis que j'ai accès à internet. Ça va faire 10 ans (j'ai eu internet assez tard oui, j'ai un retard mental donc je pouvais pas trop me servir d'un ordi avant lol).

Ils m'ont beaucoup aidé. Ils ont été mon premier lien avec le metal, et bordel qu'il m'a sauvé et continue de me sauver, le metal.

Sauf que bah, c'est pas l'avis de tout le monde. Et ça m'a beaucoup rendu triste. J'ai fait la rencontre de gens qui ne comprenaient pas (pas leur faute) mais surtout, qui avaient du mal à vouloir essayer de comprendre. Parce qu'ils étaient trop étrangers à ce monde-là, à ce coping mechanism-là. Je peux comprendre, mais je regrette qu'il ait été si difficile d'écouter ce que j'avais à dire. Mes sentiments et mes émotions à propos du metal. Voire qu'il m'ait été interdit d'en écouter, parce que mon avis ne comptait pas. Je fais référence à plusieurs personnes, si quelqu'un lit ça et se sent visé, ce n'est pas contre toi directement. (Je m'en fous maintenant de toute façon.)

Je comprends d'où vient le préjugé que le metal rend les gens dépressifs. Parce que y'a un réel lien, je ne vais pas le démentir alors que scientifiquement, des études l'ont prouvé. Oui, y'a un lien entre santé mentale instable et metal. Mais c'est pas celui que la plupart des gens croient et basent leurs préjugés négatifs dessus. Les gens instables, mal en point, sont plus souvent attirés par le metal que n'importe quelle autre catégorie de personnes. Ils écoutent du metal parce qu'ils ne vont pas bien. Voilà, c'est ça le lien. C'est pas "Ils sont dépressifs et mal en point à cause du metal". Non non. C'est comme dire qu'aller à l'hôpital ça rend malade, alors que le réel lien c'est que l'hôpital attire des gens malades, parce que bah c'est là-bas qu'ils peuvent être soignés.

Ça marche pareil avec le metal.
Et en particulier... le black metal.
Encore plus particulier? Depressive suicidal black metal.

Depuis ma période post-hardcore, j'ai toujours frôlé, timidement, le depressive black. J'avais des recommandations YT çà et là, des connaissances qui écoutaient, etc. J'écoutais parfois, timidement, en secret, le seul morceau de dsbm que je connaissais, parce que mon entourage critiquait déjà mon amour pour BMTH. Juste BMTH, quoi. C'est pas du tout le même niveau que du depressive black.

Quand j'ai été foutu dehors, que j'avais plus rien, plus personne, oh bordel. C'est pas mon metalcore qui pouvait me repêcher à ce stade. Un ami, déjà pas mal dans le black, m'a du coup proposé quelques noms.

Renaissance? Oui, carrément. Ça a fait tilt. J'ai découvert un monde dont je savais avoir besoin.

Parce que putain quand on va mal c'est pas une dizaine de beaux gosses chantant bien en rythme et dansant une chorégraphie toute programmée et contrôlée et colorée et bien joyeuse et tout bien fait qui aide. Non ça aide pas ça. Ça aide pas. On se sent pas compris, on se sent de trop avec notre agonie, notre désespoir, notre douleur, NOTRE HUMANITÉ: on les met où? Qui est là pour nous aider à porter, à partager ces fardeaux le temps d'un morceau, d'un album? Qui est là pour nous montrer quoi en faire? À la place on te dit: Tais-toi et sois heureux. Du moins, prétends l'être.

Le dsbm a un aspect indéniablement cathartique et thérapeutique. Est-ce que ça veut dire qu'on peut se passer d'une réelle thérapie? Bien sûr que non. Jamais. Ça reste important... du moins si on veut s'en sortir, si on a le courage de s'en sortir, si on n'a pas encore baissé les bras.

Est-ce que le dsbm peut pousser des gens à se mutiler, à se suicider? Moi je ne pense pas du tout. Si quelqu'un fait ça, c'est qu'il allait le faire de toute façon. Le dsbm accompagne juste. Rend la chose moins solitaire. C'est une présence réconfortante qui rend l'acte... moins effrayant? Le dsbm est pas là pour influencer des âmes confuses à atteindre à leur vie, il est là pour leur tenir compagnie durant ces moments si, si terrifiants où on se sent si seul et perdu.

Et puis, avant tout, le dsbm c'est bien le genre où les artistes font de la musique avant tout pour eux. C'est leur histoire avant tout, et tant mieux si ça profite à d'autres gens qui ont besoin de leur "présence" musicale parce qu'ils partagent des expériences similaires et auraient bien besoin de se sentir moins seuls, d'être compris, de pouvoir hurler leurs tourments avec eux, ou de les écouter les hurler à leur place.

Si quelqu'un se fait du mal, se suicide à cause (et non pas en compagnie) du dsbm c'est que le gars a rien compris au truc. C'était pas son monde mais il a forcé pour y entrer. Il recherchait une communauté qui l'encouragerait à se détruire et il a poussé cette interprétation-là dans le dsbm, alors que fuck c'est pas du tout ça.

Comme un grand vocaliste du depressive suicidal black metal l'a dit... VOUS ÊTES RESPONSABLES DE VOTRE VIE, LES MEMBRES D'UN GROUPE DE DSBM NE LE SONT PAS. TOUT CE QU'ILS ÉCRIVENT ET JOUENT EST POUR EUX-MÊMES AVANT TOUT.

(1/2)
Comment on fait pour avoir un gâteau au chocolat qui a moins le goût de chocolat noir?
Envie de me faire un tik tok pour descendre des meufs aux cheveux bleus qui prétendent être des mecs trans
Floundering attempts at making some sort of sense
Striving for significance
In a universe that will not give a shit
The myth of Sisyphus
Authenticity is important but I'm not sure who I am anymore
I'm at the point now where I'm also doubting who I was before
The arbitrary nature of thought leaves me alone and paranoid
Synonyms for a void
Nobody belongs
Time brings invalidation
Find selfish solace
In mutual trepidation
The absurd condition of human existence
A struggle to embrace
I do not get the point that I'm supposed to miss
The passive submission or preferred resistance
Just give me breathing space
The meaning I used to find
Over-analysed, displaced
Dispense your goals and actions into something trivial
Pick apart pointless projects
My brain sings with vitriol
I don't reflect, I destroy with thinking
The examined life is not worth living
Look at my sad life in detail
And you'll see it is a comedy
Sometimes I wish I was a goat
Uncover yourself, we're not done.
Step from behind your bleeding, bleeding sun.
where is my
where is my
where is my
where is my
where is my mother
give me my warmth
where is my mother
give me my comfort
where is my mother
i'm still a child
If you call yourself a satanist, and actually do worship and believe in Satan, then you are nothing but a heretical christian, which does not make you any better.
1 | 2 | 3 | 4