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Questions/Réponses (1)

Une drôle de brume venue d'une autre dimension pour t'avaler tout cru.

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I'm fluctuating.
Envoies les paître dans le dixième cercle de l'enfer ces vautours, mon amour, je ne veux plus les voir te tourner autour et si j'en surprends un, un beau jour, sois en certaine que je lui clouerai le bec.
Mon psy pense que je me complais dans la douleur et le vide sidéral. Quel con celui-ci, il comprendra jamais !
En amour. C'est de l'autre dont on se soucie à l'insu de soi, et souvent, du monde autour.
A bleak light is being casted unto a grey and howelling wall. It's a belief, a naive and desperate belief that is merely half a belief, an echoey scream emmanating from the depths of eternity, that mankind is worth loving. But is it ? The light is lit. It's dim, it has gotten dimmer and dimmer with time, it's translucide but it's still not consumed. It won't stay for too long, It's name is Celeste, swelling and quiet, and it's catching cold.
You keep being thrown in this sea of disgusting strangers giving you a pack of responsabilities you've never agreed on to take in. You're being thrown out of your nest without any flight knowledge. Oh my poor little ray of sunlight . You're aching, because of people forcing you out of yourself.
Je VEUX lui mettre sa tête dans la cuvette des toilettes et compter jusqu'à 100.
Je mène une guerre silencieuse, pas si silencieuse que ça vue de l'intérieur.
Je me laisses me consumer délibérément dans ce feu de cheminée. 
Je te laisses voir mon coeur bouillir et éclater en caillots sanguins.
Je te laisses dévorer ma flamme dans la tienne. 
Je suis à bout de force.
La solitude sur le seuil de la porte.
Succession de rêves de nature énigmatique, grande portée symbolique. signification cryptique.
Tu m'affames de ta présence et tu t'attends à ce que je dises que ce n'est pas douloureux ?
Nous sommes de simples oiseaux migrateurs postés sur la surface de cette planète et nous ne sommes pas destinés à sillonner ses horizons sensibles pendant bien longtemps. La terre et ce qu’elle recèle de richesses, de beauté et de sources d’émerveillement ne sont pas nôtres, mais appartiennent à d’autres écosystèmes sur d'autres échelles, des formes de vie qu’il nous faut humblement préserver et chérir, ne serait-ce que par gratitude. Car si nous avons la chance de respirer, c’est bien parce que la terre a eu la bonté de nous céder un petit recoin pour subsister. Soyons francs jeu.
J'ai besoin que quelqu'un me tienne la main et me répète que ce ne fut qu'une vision de cauchemar issue d'un rêve opiacé.
C'est une tentative pathétique. C'est d'une inutilité ébourriffante. 
Du matin au soir, le bourdonnement des mouches, le sang qui bouille dans les veines. Catastrophe à l'approche.  
Taper sur des touches, ouvrir des fenêtres ensuite des barres de recherches, taper encore plus vite, des chiffres qui dévalent xur l'écran à la matrix.
Les gens s'en vont, s'en viennent. Ils s'échouent sur ton rivage, frôlent ta peau de satin puis se retranchent dans l'océan pour ne plus reparaître. Mais moi, je suis différent des autres, moi, je suis sur le sable, à l'ombre des caillous, je m'accroche avec mes pinces à ton minois. 
Cette morsure de foid est douce à supporter quand
T'es là.
La douleur ne me chagrine plus. C'est un cadeau inespéré du ciel.
Je suis le genre de personne qui s'arracherait volontiers des lambeaux de chair pour venir en aide à un être cher ou quelqu'un que j'ai envie de voir réussir, quelqu'un qui a les yeux gorgés de scintillements et d'éclat. Mais...Pour les autres,  je ne suis probablement qu'un reclus, un râbat-joie anxieux et mélodramatique.
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