Les gens s'en vont, s'en viennent. Ils s'échouent sur ton rivage, frôlent ta peau de satin puis se retranchent dans l'océan pour ne plus reparaître. Mais moi, je suis différent des autres, moi, je suis sur le sable, à l'ombre des caillous, je m'accroche avec mes pinces à ton minois.