" Take my hand, I'll teach you to dance. I'll spin you around, won't let you fall down. Would you let me lead? You can step on my feet. Give it a try, it'll be alright "

Tu veux pas comprendre que tu m'as brisée et que je ne pourrais pas te le pardonner

Tu savais que je t'aimais et comme tu en as joué

T'as rien d'un exemple

I wanna call you mine

 C'est pas comme ça que je t'aimais alors je préfère partir

" j'ai trouvé la vie bien plus moche que je ne m'y attendais " Dickens

Je me suis trouvée devant chez toi, ce soir. Je l'ai réalisé lorsque j'ai perçu entre les boutons fanés des hortensias ton sourire 

Et j'éclate je panique je redoute je rengaine je m’essouffle je me perds. Je me demande en vain si tu m'as utilisée

Sans tes cachetons t'existes même pas, t'existes qu'au gré de tes misères

Je te déteste. Je te déteste pour toutes ces souffrances accumulées, répercutées. Je te déteste pour tous ces jours qui défilent et pour tous ces espoirs qui s'envolent. 

You don't care, you never did

" On a plus rien à se dire et j'crois que ça fait un moment que j'aurais dû fuir "

"  love that saves me finally kills me.  Without love we're alone, we just exist "

I own nothing

I want you to know I can do all alone 

On était si bien, on était tellement nous que je nous ai vus murmurer qu'on avait besoin de rien d'autre 

07/01/16

 Je m'excuse. Je sais bien que c'est dérisoire, dorénavant et pourtant je le pense. Je m'excuse d'avoir été cette pauvre impertinente qui a joué avec toi et qui en avait besoin. Je pensais pouvoir énièmement compenser son départ, à lui. Retrouver cet espoir. Retrouver ce qui m'animait avec lui. Me retrouver moi-même, dans ses yeux. Je cherchais son fantôme en vous tous. Je voulais qu'on m'aime, tu vois. J'avais besoin que l'on me regarde, comme lui me regardait. J'avais besoin qu'on m'écoute et qu'on me réponde comme lorsqu'il m'offrait des ailes. Qu'on croit en moi comme lui y croyait. Mais la vérité c'est que chacun de vous étiez de beaux mirages ; de belles supercheries qui ne suffisaient jamais à remplacer l'original.

« Son cœur est un luth suspendu ; Sitôt qu'on le touche, il résonne. »

Quand je regarde les autres, je ne cesse jamais de penser à nous. De nous accuser de tout ce gâchis. Et je me demande si on donne au moins l'illusion d'une famille.