Comme toujours on y revient.
Au creux de ta peau, je me réveille à peine et je tourne la tête pour m’essuyer les yeux. Je n’ai pas pleuré puisque l’oreiller est sec. Je n’ai pas ressenti de peine, puisqu’on est toujours ensemble.
Je n’ai pas cette douleur criante au bas-ventre, puisque tes mains reposent sagement dans mes cheveux.
Créé le 25/07/24 à 23:15 par
Narcisse