jamais je n'avais pleuré pour un homme
mes larmes étaient vertes
au parc
comme le blanc des murs de mon adolescence
je comprends que le malheur peut aussi être vert
sans faire l'erreur de me jeter sous un train ou
de demander l'absolution
je comprends que l'excès n'est qu'une autre solitude
un détail chromatique
qui m'empêche de marcher