Je feuillette le journal d'Alejandra Pizarnik (en français) qui parle joliment de certaines émotions que je ressens.
Elle écrit quelque part que l'homme du sous-sol de Dostoïevski lui ressemble, ce qui m'a fait sourire : j'ai passé toute mon adolescence à le considérer comme mon alter ego (et à le détester, aussi).
Et sans y revenir vraiment, reste ce fantasme d'aller quelque part où je sois vraiment seule (certes pas un sous-sol ?)