Écrire.  Voilà ce qu'il me reste. Après que tu sois partis ou plutôt après que t'es fuis. Pour mon bien qu'il avait dit, c'est mieux comme ça tu dois m'oublier voilà ce qu'il répétait sans cesse comme pour essayer de se convaincre lui - même. C'était toujours comme ça on décidait pour moi pensant que c'était le mieux pour moi. Mais qui mieux que moi même pourrait le savoir ? Tu t'étais cassé me laissant chialer tout les soirs regrettant de ne pas t'avoir retenu. Car j'avais rien pu dire non je suis restée là comme si tout était joué. Tout était déjà finis.  Sur le banc de touche la petite. Pour une fois c'était pas de ma faute, ouais la distance un truc contre lequel même ce qu'on appelle l'amour ne peut pas lutter. Je savais que ça finirait mal avant même qu'on ne commence. On en était là maintenant. Ça allait bien pourtant enfin ça commençait. Les semaines avait passé j'avais réussis à me faire à l'idée qu'y aurait plus de nous, si y en avait eu un jour d'ailleurs. Mais bien sûr comme toujours t'avais fais cette putain de connerie. T'es revenu. Pour prendre des nouvelles selon toi, j'ai sentis mon coeur faillir prêt à craquer.  Mon esprit affolé faisait allumer tout les voyants aux rouges, catastrophe imminente. T'avais pris un ton nonchalant comme si nous étions de vieilles connaissances se retrouvant après une perte de vue. T'avais demandé l'air de rien si je t'avais oublié avec un putain de sourire. J'ai pas voulu perdre la face, une dignité qui avait soudainement apparut, et en mentant je t'ai répondu que oui bien sur avec ce même sourire. T'étais content de toi t'avais fais le bon choix c'était grâce à toi tout ça. Puis tu m'as dis que t'allais repartir t'étais pas venu pour rester longtemps de toute façon. J'ai faiblis tu me manquais tu pouvais pas repartir comme ça. Non t'avais pas le droit. Mais j'ai rien dit la dignité ne pas oublier cette foutu dignité. Puis là t'as complètement déraillé. T'as réfléchis, une seconde de trop. Et t'as sortis ces mots qui ne fallait pas. Ces mots qui ont traversé ma peau pour venir s'écraser sur mon cerveau et y créer un cataclysme. Je t'aime. J'ai pas compris. Une mauvaise blague. J'ai lâché que je ne te comprenais plus tu m'as dis simplement que c'était normal. Sans rien rajouter de plus t'es repartit. Me laissant là avec mes sentiments éparpillé. Bordel de merde.