A toi, mon ancien amour.
C'est reparti pour froisser des brouillons, pour réécrire par dessus des vieilles lignes que j'aimais. Je te rassure, je ne t'oublierai pas, mais tu m'as prouvée encore une fois à quel point tu m'étais inaccessible. Ne me pleure pas, ne me manque pas, je t'en interdis après tout ça. Laisse moi vivre, laisse moi ressentir les lignes d'un nouveau corps, laisse moi être libre. Et je sais, je sais ce que c'est de se mordre les lèvres. Mais non, non, non, je ne les mordrai plus pour toi. Vas-y avec tes propres dents, vas-y puisque je n'étais que d'un passé le semblant.