Y a de ces crises existentielles qui n'en finissent plus. Elles tombent en pluie d'étoiles filantes pour nous ensevelir sous le feux, pour qu'on s'y noie. Et quand on parviendra à mettre la main sur quelque chose de solide, alors nous devrons soit continuer la dérive ou se raccrocher à la rive. En bref on devra se décider.

ekki

 Il n'y a pas de juste milieu. Rien qui nous permette un certain équilibre. En tout cas pas pour moi. Ces jours-là ça me fend le cœur de ne plus rien savoir, ça me torture toutes les cellules de ne pouvoir rien changer, peu importe le chemin que j'emprunterai. Puis tant pis, je me dis. J'reste là à me faire écarteler les entrailles parce que j'suis trop indécise.


 L'absolu existe-t'il? L'absolu bonheur, l'absolu amour, l'absolue vie... La réalisation d'une vie? Ça existe? L'accomplissement total, la satisfaction d'avoir ''bien'' vécu? Vais-je le vivre? Ou seulement cela n'existe pas. Peut-être que ce ne sont que des mots que l'humain met sur ce qu'il ne peut concrètement comprendre et décrire? Y a pas un sens, un mode d'emploi? J'y crois pas non, mais j'vois les autres, et ptn ça me fait chier mais je les envie de vivre, tout bonnement, simplement, hauts et bas, sans toutefois jamais s'arrêter réellement.

kannski

Je déraille... Tchcou tchou pow. Oubliez.