Elle pleure, en pensant à ces jours où elle baigna dans un lac de douleurs. À ces jours où elle était déchirée de l'intérieur. Qu'elle suffoquait en son cœur. Rongée par des ronces, lui volant ces espoirs. De son âme teintée d'un triste ivoire. Elle pleure, en pensant à ses songes de demain. Ceux qui l'obligèrent à regarder vers un autre lendemain. Elle court, elle court. Derrière un lapin blanc. Qui lui fera voir les merveilles du temps.