Cette agonie qui s'engouffre dans mon cœur. Ces souffrances qui refont face liés à mes peurs. Je sens les poussières de mes ombres flotter jusqu'à mon pénombre. Je me cache et ferme les yeux. Me réfugiant dans les nuages de rêves, logés aux cieux. Je tente d'accrocher mon cœur à mon corps. Puis limiter ces battements que j'entends si fort. Ces horreurs qui s'accrochent à mon esprit, ces chants qui veulent diriger ma vie. Je ne peux me laisser chavirer sur ce bateau sans fin. Il faut que j'accepte enfin. Cette solitude qui fait partie de moi. La savourant seule et sans toi...Ma morose autre moi.