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Questions/Réponses (5)

Refuge. Ce que tu ne vois pas. Chimère. Beaux jours. Tristesse. Journal. Ce que je ne peux te dire.

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Tu n'es qu'un rêve 
Et qui suis-je
Pour espérer deviner ta forme 

Je ne te rêverai plus
...Je ne te reverrai plus 
Impalpable, tu es réel
Et qui suis-je 
Pour espérer 
Tes éclats de rires 

que j'imagine

Jaillir de ta bouche scellée 
Parce que, 

Je t'aurais dit

"Tu n'es qu'un rêve 
Et qui suis-je 
Pour espérer "

Chaos
Nuit blanche : immense feuille vierge, impalpable, où se déposent et s'entrelacent des prières. Si seulement visage avait allure de papier buvard. 
Il y a cette fille que j'aime assez
 Douce et drôle
Un coquelicot sauvage 

Quand elle s'agite, quand elle danse, 
J'ai envie de l'arracher
La prendre toute entière contre moi

Soleil ardent

Son cœur qui me tend si fort les bras
Ses yeux espiègles qui m'appellent

Elle me frôle, me caresse 
Elle est têtue, elle sourit sans cesse.


Tristesse infinie..
...
Je m'accroche à la vie, 
comme on tient une brin-

Morte, laide 

A jeter au feu, inutile 

J'ai déversé toute ma peine sur les rives pâles,

Et ces coulées rouges, 
creusées de laves acides 
Qui font ma joie et ma détr-

Si souvent, mais 

Tu ne verras pas mes secrets amers 

Tu ne verras jamais qu'un s

Pourtant je cherche tant à m

Toi , que j'ai trouvé si doux

Qui m'a donné envie de v

Tu me laisses là, 

Brûler et brûlée 

comme un Tournesol en plein soleil. 

Dis-moi 

D'arrêter de tourner autour de 

Dis-moi

j'me sens pas belle.
Souris. Force toi. Peut-être que ça deviendra naturel après, t'en sais rien. 

vidée. 
Fin. 
Un jour, le dégoût pointe le bout de son nez et l'Autre apparaît alors à nos yeux comme étant l'être le plus laid qui soit. Sa bouche, que l'on découvre hideuse, n'est rien de plus qu'une cavité sombre, répugnante, d'où s'échappent des mots que l'on n'écoute plus ; comment inaugure -t-on la découverte d'une erreur ? "On ne dit rien. On s'éteint, lentement, comme ces ampoules jaunes à l'éclat doux, rassurant qui sombrent avec élégance pour laisser la place au Noir. Le Repos. Et alors, nous voilà lâchement soulagés de ne plus avoir à nous battre. Voilà la pénitence : fixer cette bouche qui condamne, qui crie, qui frappe le jugement qu'on connaît par cœur.." Verbiage poétique lâche et défaitiste. Si le corps se dresse vaillamment face au Bourreau, le cœur, lui, c'est vrai, se recroqueville, terrifié et le cerveau se glace mais cette peur, qui nous pourrit les os et tord nos entrailles, se métamorphose. Elle devient amère. Les dents se crissent et les poings, pour la première fois, se serrent. Le dégoût pare la peur dans nos yeux d'une couleur nouvelle, le Défi. Alors, on se dit qu'on ne baissera plus jamais les yeux. Le corps n'a plus peur. Les yeux n'ont plus peur. On bouillonne intérieurement, on mord nos lèvres, mâche notre langue. La découverte de l'Autre nous anime comme une bête , acculée avec sa progéniture au bord d'un précipice. Pour la première fois, on hésite, écartelés entre l'idée absurde mais salutaire, que l'on pourrait faire face à ce géant de Terreur et cette raison traître, dévoyante, qui nous intime de nous coucher, comme toujours.




Boulimie, ça faisait longtemps.
"il y a trois étapes dans la vie d'un frère convers: Dieu, Dieu et Dieu" 
Amour
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