Je crois que je pourrais m'épancher des lignes durant sur Nicolas Devort et plus particulièrement sur ses deux pièces que j'ai vu ces dernières semaines : Dans la peau de Cyrano et le bois dont je suis fait. Je pourrais noircir longtemps l'écran de mon téléphone et pianoter longtemps sur le clavier, mais les mots me filent entre les doigts et je ne peux les rassembler pour en faire un ensemble cohérent aujourd'hui. Alors je me contenterai simplement d'ecrire que ces pièces viennent de me révéler la puissance infini du théâtre et que ça me fait très mal. Mais bon dieu que c'était beau.