Tu recommences à me manquer. Une fois par mois, ça revient. De moins en moins fort à chaque fois - excepté le mois prochain, là je pense que je vais me prendre une grosse claque en recroisant ton regard. Mais pour le moment, en cet instant présent, tu ne me hantes presque plus. Enfin, façon de parler, je suppose. Tu es quand même chaque nuit dans mes rêves, chaque jour, à chaque heure dans ma tête. Je ressens ce besoin de penser à toi, mais... C'est comme si... comme si j'avais accepté, enfin, que tu sois parti, en quelques sortes... je crois. Il faut qu'on parle.