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Foutoir de pensées vides.

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Ce doux fantasme vous tuera avant que vous puissiez même y goûter, mes chers messieurs.
J'en ai plus rien à foutre de lui. 
(Oui de TOI)
Voilà, j'ai envie de dire cela à tout le monde.
Au pire, pourquoi t'en as quelque chose à foutre de tout ces gens autour de toi ? Tu es putain de mal, tu vas putain de mal.. depuis combien d'année déjà ? Ouais, tu ne sais plus hm. Rappelle moi quand c'était la première fois que tu as pensé à te buter ? Y'a 8 ans, ouais. Et depuis tu n'as pas cessé d'y penser, ouais. Ah si ! Une fois, et de cette fois-là tu en as fait de la merde, d'une façon historique. Et depuis, tout est encore pire. Tu lutte pour vivre.Tu te bats chaque jour contre toi-même et tout ce qui se trouve dans ta tête. Tu n'as pas une seule seconde de répit. Tu ne dors plus, tu ne manges plus.. Non la moitié d'un repas par jour ce n'est pas assez ma pauvre. Tu es faible. Tu es putain de faible et tu l'as toujours été. Une vraie poupée de porcelaine, fragile et vide à l'intérieur. Tu n'as pour toi que ta beauté. Tu vois ces gens autour de toi ? Ils sont là pour ton cul. Ouais, uniquement. Tu n'es rien d'autre qu'un fantasme pour pervers. C'est cool hein ? Puis comme tu foire tout tu n'auras jamais rien d'autre. Oh et j'oubliais, ta beauté finira par partir. Bientôt les premières rides ma pauvre. Puis papa et maman mourront, et tu n'auras plus personne. Complètement transparente cette fois-ci. Elle va être cool ta vie ouais, ça promet d'être énorme. Me tarde déjà de voir l'état de tes poignets dans quelques années. Tu es ridicule. Tu comprends maintenant ? T'attends quoi ? Non, les cachets c'est chiant puis vu comme tu es douée tu vas encore te rater. Ta lame n'est pas assez coupante, oublie. Le train ne passe plus à cette heure-ci. Si seulement tu avais un flingue... Ça aurait été rapide et efficace. Tu sais ce qui est drôle ? Même si tu es au plus mal, au fond du fond du trou, tu n'arriveras pas à te tuer. Tu attendras que les choses se fassent pour toi. Parce que tu es faible. Et stupide. T'es fichue ma pauvre, tu ne pourras rien y faire. Et personne n'en aura rien à foutre, surtout pas lui non. Arrête de te voiler la face petite idiote. Et crève bordel.
Je m'en veux d'aimer autant. C'est un drôle de sentiment l'amour. Je ne peux nier qu'il est magnifique, mais bon dieu qu'il fait souffrir. C'est un triste sentiment lorsqu'il est si fort. 
Comme tu me l'as si bien dit: aucun de nous deux ne sait pourquoi je t'aime autant, et si un jour je le découvre, je ne trouverai probablement aucun mot pour pouvoir l'exprimer. Aurais-tu été capable de m'attendre des années dans la souffrance comme je l'ai fait pour toi ? Tu aurais préféré que je donne tout cet amour à un autre. Non pas que tu ne le veuilles pas ou que tu ne le partages pas, mais on le sait tous les deux: tu es la dernière personne avec qui il faut créer une attache. 
Tu sais, je me tue à rêver d'être un jour définitivement soignée, mais au fond je crois que je ne le supporterai pas. Je trouve la souffrance magnifique. Tu es la personne qui m'a donné le plus de souffrance en ce monde, tu es aussi un être qui baigne continuellement en elle. C'est peut-être pour cela que je t'aime autant ? Je ne fais qu'émettre une hypothèse, je n'en ai aucune idée. 
Tu veux partir.. définitivement. Cette idée est dans ma tête à longueur de journée. Je n'arrive pas vraiment à y croire, et pourtant elle me terrifie. J'ignore comment je réagirais ce jour-là, je pense que ça sera tellement violent que je ne peux tout simplement pas l'imaginer. Sûrement que les jours après que ce soit arrivé je relirai ceci, et je pleurerai toutes les larmes de mon corps. Encore plus que tout ce que j'ai pu pleurer pour toi jusqu'à maintenant (et tu n'imagines pas combien il y en a beaucoup). Je devrais me laisser un petit message.. mais j'ignore complètement ce qui pourrait m'aider à traverser ça. Rien, je crois.

"Va dans les bras de maman et pleure." C'est tout ce que je peux te dire... Ah, et ne t'en veux pas. N'oublie jamais ce qu'il t'avait dit: "Cette fois-ci tu ne pourras rien y faire, tu n'auras vraiment pas à t'en vouloir mais au contraire, tu pourras être fière d'avoir réussi à faire autant pour moi. Tu as été là le jour où je m'étais promis depuis toujours de mourir, tu étais à mes côtés alors que ma mère était en train de se bourrer la gueule en bas. Tu as été bien plus présente et aimante que quiconque. Jamais je n'aurais cru que quelqu'un m'aimerait autant."

Je t'aimerai toujours, idiot. Tu es gravé en moi.
Ses bras et ses lèvres me manquent, j'ai encore plus l'envie de lui parler et de le voir qu'autrefois. 
C'était une mauvaise idée pour mon petit cœur. 
Quand je vois l'optimisme de certaines personnes, ou bien ce genre d'endroit remplie de pensées moralisatrices positives de mon cul: bon dieu j'ai envie de vomir. 

"- Je ne savais pas que c'était ton tatouage, joli! Pourquoi avoir choisi ce mot ? 
- eh bien c’est un mot qui symbolise l’espoir celui qu’un jour il n’y aura plus de famine dans le monde, qu’un jour tout le monde soit heureux ou encore qu’un jour ce que tu espérais devienne réalité"

Non, mais sérieusement quoi.... Fermez vos gueules et réfléchissez deux secondes à l'importance et au sens des mots que vous employez, merde. 
Puis arrêtez de vous voiler la face, je suis peut-être trop pessimiste/négative, mais on est tout de même pas dans le monde des bisounours, loin de ça ! 
-- Oh puis, juste une précision: ce n'est certainement pas un appel à l'aide, je n'en cherche aucunement cette nuit. J'ai seulement le besoin d'extérioriser pour retarder au maximum l'implosion. --
J'ai mal, et je pleure toutes les larmes de mon corps. 
Je n'ai aucune raison de pleurer, si ce n'est que j'ai extrêmement mal de vivre. Mais vraiment, littéralement, ce ne sont pas des paroles pour faire joli. 
C'est différent: je ne fais plus seulement que me souvenir, je ressens maintenant cette histoire du passé.
Et voilà que l'humain m'insupporte encore. J'en ai tellement marre de devoir cacher qui je suis, de devoir toujours peser le moindre mot pour qu'il puisse être toléré, de devoir sans arrêt être formatée. Oh puis merde, non je n'ai pas envie de sourire, oui je suis putain de dépressive et je pense que la vie est de la merde (grosso modo), non je ne veux pas porter de la couleur pour vous faire plaisir, et j'en ai rien à foutre si vous avez peur parce que "ohlala elle ne porte que du noir ça doit être une sorcière". Si j'étais une sorcière je vous aurais déjà fait disparaître depuis longtemps bande d'imbéciles capricieux. Maintenant laissez moi vivre comme je l'entends, et penser ce que je veux. 
Je vous emmerde, cordialement.
(Pas vous les gens d'ici, vous je vous aime toujours)
Tu es dans la pure violence. Tu t'enivres de destruction. 
Je trouve la haine, la violence, la folie aussi, bien plus rassurantes que la tristesse et le désespoir. 
Alors me voilà soulagée: tu vas mieux.
Je suis certainement en train de foutre mon avenir en l'air. En soit j'en ai rien à foutre, parce que j'ai actuellement des maux bien plus importants. Mais je dois avouer que je culpabilise pour ceux qui ont cru en moi.
Je ne suis absolument pas digne de confiance. 
J'ai la tête en vrac. Tout se bouscule et s'entrechoque. Je ne contrôle plus rien, les horribles pensées vont et viennent dans un vacarme à m'en faire grincer les dents. Oh je te jure, que ce soir plus que jamais j'ai du mal à ne pas m'exploser le crâne contre un mur. 
Je hais à un point, inimaginable.
La frontière entre l'amour et la haine est si mince.
Je pensais l'avoir compris depuis longtemps, mais c'est seulement maintenant que je le vis réellement que je me rends compte de quoi il s'agit. C'est indescriptible. Et ça donne envie de s'arracher la tête.
Depuis 5 ans maintenant, je suis hantée. 
C'est épuisant.
On brûlera.
De nouveau envie d'emmerder tout le monde. Genre juste un gros "allez vous faire foutre". Ce sentiment apporte la même satisfaction que lorsque l'on réussit à éprouver tout plein d'amour, ironiquement. 
J'ai beaucoup hésité à t'envoyer un message ce soir, juste un, pour savoir si tu allais mieux. Mais elle m'a dit que je devais te foutre la paix. Peut-être suis-je trop intrusive..? Pourtant il est rare que je fasse le premier pas vers toi. 
Parfois, j'ai la fâcheuse impression de pouvoir me permettre de prendre soin de toi, comme si l'on partageait notre amour d'autrefois. Il faudrait que j'évite ça. Déjà, et surtout, car je ne veux pas t'aimer comme l'autre fois. Peu importe.
J'espère juste en silence que tu ne vas pas pire. 
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