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Hi there my love. Haven't ssen you in a while. I got some new words to offer, maybe I could write them here like I used to

Suivre
Toute cette haine recommence a m'affecter. Me faire sombrer tranquillement. C'est dans une nostalgie étouffante que mes journées ne semblent plus finir. Je vois des gens souffrir et je suis complètement impuissante, coincée dans mon propre mal. 

Des gens me manquent énormément, nos conversations me manquent. On rêvait autrefois d'un monde doux, un monde d'amour, on avait espoir de pouvoir faire quelque chose de bien dans notre vie mais on n'a pu que se déchirer le coeur. 
Vous enlacer, une dernière fois, à tout jamais. Dans l'envie de quitter ce monde auquel vous ne souhaitez appartenir. Amants malheureux, vous décidâtes de mettre fin à votre souffrance. Amour secret, interdit. Draps blancs, une allumette.  Odeur de brûlé, les flammes. Un regard, souffrance, délivrance. 
Rêve mélancolique. Idée agonistique. Vie merdique. Sourire chimérique. Sans aucun sens, tellement trompeur. Envies irréalistes, sentiments trompeurs. Mentalité saugrenue, laquelle on voudrait détruire. Impliquant la destruction de l'humanité.

Peur de vivre, rêver de mourir. Souhaiter vivre ses rêves. Souhaiter ne plus avoir peur. Se jeter du pont, le vent, l'air qui tente de nous ralentir, comme un dernier espoir de nous faire regretter tout ce qu'on ne vivra pas. Ce qu'on ne veut pas vivre, qui nous aurait tué malgré tout. Qui nous aurait fait regretter de vivre. Qui nous aurait rappelé, jour après jour, qu'on ne pouvait pas faire partie de leur moule. qu'on était pas fait pour ça. 
Ce vent contre nous, cette chute qui semble arrêter le temps. Dernière jouissance avant le dernier coup. Béton froid, nos pied qui frôlent l'eau, marre de sang qui s'accumule, notre corps qui se refroidit, devient raide, en attendant qu'ils nous trouvent. Une vision horrible qui voudra tout dire.
On naît tous, pour mourrir plus tard. On nous dit de profiter du temps que l'on a. 
Mais avant il faut des cours, du taff, une maison et idéalement une jolie famille. Puis les enfants prennent tout notre temps. On aura passé notre vie à rêver de plus tard, jusqu'a ce qu'il soit trop tard.
''Jme sens comme un arc-en-ciel dans un trou noir''
-Columbine
J'ai presque envie de dire qu'il me manque. 
Je sais que c'est mal.
Je sais qu'il ne peut que me faire souffrir.
Em' je le sais merde! 
Mais ces jolies paroles me manquent terriblement.
Prisonnière de ses émotions, témoin de sa vie. Perte de contrôle totale. Une avalanche, un désastre. Mort imminente, obligatoire. Mais elle reste là.
En attendant de trouver une personne a qui elle s'ouvrira.
Elle voyage dans les bras d'amants qui malgré leurs efforts, au final n'auront que son corps. 
Dans ce rêve de voyage autour du monde, cette idée de vouloir fuir. 
En attendant de revoir cet être qui l'a chamboulée sans même s'en douter.

Elle rêvera de quitter son cauchemar a ses côtés.
Bien que sans connaitre son nom elle se soit dévouée.
Si'l fallait que cette âme dont elle tomba amoureuse ne revint pas. 
Sans aucun doute elle retombera.
Oh, lord.
Please tell me she's fine.
 Tell me how she miss me, tell me she's still mine.
Let me see her face one last time.

Oh god, 
If only she would be here.
I might believe in you, believe in this life.
 Oh please, let me wake up from this nightmare, this disaster.
 Let me go back to hell, where my life has more sense than here without her.
Oh lord.. let me see her face one last time...
Let me hear her signing, before this world dies.
Please. Awnser me! Only once! Only once.. Where the hell is she?
Stupid, I'm so stupid, Imma do something stuoid, I can feel it coming. 
What if this was my end?
What if none of us would survive?
oh.. wait. That's true, we'll all die one day..

J'avais eue envie d'écrire un truc mais j'ai supprimé trois putains de paragraphes par accident. J'imagine que ça aurait été merdique de toute manière...
J'en ai marre d'écrire de la pure merde. Un charabia qui mène à rien, des textes dont tout le monde se tape. Laissez tomber, partez, j'en ai marre de vous. Laissez moi dans ma tête. Laissez moi disparaître.