"Tu as vraiment une sale tête, ça ne va pas ?" 

Il semblerait que tu acceptes enfin la réalité, bien ! Alors non, vois-tu, aujourd'hui le dégoût, la haine, et la peine se jouent d'une danse sans fin dans ma tête. J'ai envie de vomir, de frapper très fort, puis de mourir ensuite. Mais aujourd'hui encore, même si je tente d'apaiser mes souffrances avec ces quelques mots postés sur un site réconfortant - bien que plutôt morne -, elles n'en restent que plus douloureuses. Je ne parviens pas à trouver de paroles assez fortes pour transmettre toute ma douleur. Ce que j'écris là me semble si infime, que cela m'entraîne d'avantage dans les tréfonds de mon esprit morose. 
Je devrais sûrement écrire tout ceci autrement. 
À défaut de ne pouvoir évacuer le mal par des mots, je ferais couler ce dans quoi il est ancré.