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"Je suis l'homme le plus heureux du monde. Et le plus dépressif."
" J'ai envie de mourir pour être avec toi parce que la vie me fait peur. Je demande pas de l'attention, je demande pas qu'on me dise que tout ira bien, je demande pas des "Je suis avec toi par la pensée " parce que je sais que d'une certaine manière mon bonheur est avec toi. Je suis perdu, je suis malheureux, je suis souffrant d'une certaine façon quand je me pose quelques secondes pour réfléchir à comment je vois ma vie. J'ai peur, j'ai envie de hurler et de ne plus bouger de mon lit car dans mes rêves tu es encore là. Je suis perdu, aide moi. Tu me manque. Tu étais toujours présent quand je voyais du noir. La seule chose que je me demande c'est qu'est ce que tu m'aurais dis si tu ne serais pas parti. J'ai peur, peur de sortir, peur de parler, peur de croiser les regards des gens, peur de demander les sujets à mes profs, peur de dire que je vais mal, peur de rire car j'ai peur qu'on pourrais me dire que je vais mieux alors que non, peur de respirer parce que même mes poumons me font souffrir, peur de vivre, peur de mourir, peur du futur, peur de mon présent, peur de ne jamais te revoir, peur d'oublier ton visage, peur de pleurer, peur d'être oublié, peur d'exister. Reviens s'il te plait.
" Depuis que tu es parti, j'ai l'impression que j'ai plus rien à apporter dans ma vie. Je vivais pour toi, tu vivais pour moi. Tu était ma seule petite force et mon espoir d'un futur meilleur. Ma vie n'avait aucune importance, mais j'avais l'impression d'être le plus important des hommes à tes yeux. Nous étions fort dans la dépression, nous la combattions ensembles, personne ne savait notre secret et je pensais que j'y arriverais avec toi. Au jour d'aujourd'hui, ma douleur est tellement forte que je ne sais plus pourquoi j'ai envie de crier. Je n'ai plus envie de me battre ni d'essayer d'avoir l'espoir de réussir à remonter la pente et du fait que je ne peu être avec toi j'ai l'impression que plus jamais rien n'ira mieux."

Je vais finir mon texte par des mots que je n'osais jamais te dire mais que j'aurais dû te montrer plus souvent : 
Je t'aime.




Pardonne-moi.
" Je veux m'endormir et ne plus me réveiller "
" Ne t'inquiète pas.
La vie, tu sais bien que je l'aime. Je déteste seulement la mienne. 
Putain je sais que monde est beau. Mais surement pas sans toi. "
" Les gens pensent connaître la haine.
Mais personne ne la connais vraiment, jusqu'à ce que tu te haïsse toi même. "
"Qu'est-ce qui pourrait être plus beau que toi? " 
" Parfois je me dis que mourir ferait du mal à mes proches. Et puis, parfois, je me rend compte que vivre me fais beaucoup plus mal que n'importe quel douleur qu'ils ressentiraient en apprenant ma mort. "
" Si tu savais comme je t'aime. Je pourrais te le dire toute la journée, toutes les secondes. Te le hurler, te le murmurer, te le chanter. Le problème... C'est que j'ai peur de te déranger à chaque fois que j'aimerais te le dire... Mais surtout, je ne sais pas si tu m'entends du Paradis. "
" J'le vie mal d'être moi. "
" Sérieusement tu me dégoûte. Regarde toi un peu, tu me donne envie de vomir. Regarde toi très sincèrement devant ton miroir de résidence, t'es laid. Tu pu tellement la déception que ton déo ne te sers à rien. Tu pu tellement la pitié que t'es pas foutu de tenir droit. Tu pu tellement la déception que même ta peau veut être loin de toi. Tu pu tellement la laideur que ce qu'il te reste d'amour propre est parti ce faire des putes en Thaïlande. Regarde toi mon vieux, personne ne veut de toi et même à relire tes textes tu sais que t'es bon à crevé puceau, regarde toi sale merde et trouve toi une bonne raison de vivre et commence déjà par changer de gueule. T'es seul, la, maintenant. C'est pas une coïncidence, toi, devant ton téléphone, dans ta vie de merde. T'es tellement nul que t'es pas foutu de vivre une vie correct que t'écris sur evasion. T'es pas un Fauxdepressif, t'es un FauxÊtreHumain tellement t'es une erreur. Putain et apprends à ecrire connard ! "
I don't want this moment to ever end Where everything's nothing without you "
" Il fallait que je te trouve, maintenant sinon jamais, pour te dire que je suis désolé. Il faudrait que je te retrouve, avant de mourir, pour te dise que j'ai besoin de toi. Il fallait que je te retrouve, mon démon de luxure, Dis-moi que tu m'aimes, reste me tourmenter. Prends moi la main et partons maintenant, ce soir. Avant de mourir.
" J'ai pas envie d'vous faire chiez mais j'ai envie de mourir. "

" Tu sais, au début je voulais pas forcément te faire du mal. Je pense sincèrement que c'était juste erreur de ma part de t'avoir parler, je m'en suis presque voulu. Mais la haine que tu créé au tour de moi me donne envie de t'enculer à sec en te retirant les ongles. 

J'ai pas envie de dire que je te hais, c'est trop simple. Mais sache que tu me pète les couilles. C'est les petites choses de la vie qui me prouve que certaine personne ne servent vraiment à rien. Tu sers à rien. Tu fais la victime face à tes pseudo pote que tu critique quand une petite chose ne vas pas. Sache que je t'emmerde. 

J'ai rien perdu avec toi, juste peut-être mon temps. T'as perdu. Dégage. "
" Il n'y a pas d'issus de secours à mes démons "
" ça me fais mal que tu t’en sorte mieux dans la vie que moi malgré
que tu sois un bon petit fils de putain.
"
" Je voulais juste te dire qu'un faux dépressif t'aime. Mais je ne peux me permettre de te le dire ou faire en sorte que tu le sache. Je pense pas que c'est une très bonne idée, je n'aimerais pas te mettre en danger. Mon bonheur est presque mort et ma raison de vivre n'existe plus. Je préfère me sentir malheureux et te voir heureux avec quelqu'un d'autre que l'inverse. De toute façon je ne pense pas pouvoir me sentir encore plus mal que aujourd'hui ou demain.

Je ne peux te donner mon cœur il n'existe plus.
Je ne peux vouloir te rendre heureux je n'y arrives pas moi même.
Je ne veux pas que tu face attention à moi comme je tiens à toi. "
" Je suis en partiel et je vais rendre copie blanche.

Parce que j'ai pas la force, j'ai plus la force. Il m'épuise, me détruit peu à peu. Il dit que je devrais mourir. J'ai passez une nuit atroce, un beau résumer de ma vie d'ailleurs le mot "atroce". Je sais plus si je délire, cauchemarde ou si tout ça est réel. Franchement j'aimerais délirer ou être vraiment perturbé mentalement. J'essaie d'être plausible à tout ce qui m'arrive, parfois je me dis que je devrais parler à quelqu'un de ce qui m'arrive plutôt qu'écrire ceci anonymement.

Il veut que je saigne, que je me face du mal. Mais j'ai pas envie. Quoi-que, si le seul moyen d'être libre est de mourir, alors soit. Je manquerais seulement au début, comme toute mort. Et puis... Personne ne peux vraiment m'aider. Mon bras gauche me fais souffrir, mais je ne sais plus vraiment pourquoi, je sais plus si je délire, cauchemarde ou si tout ça est réel. Je suis épuisé.

Hier, j'ai dis à mes amis proche que je l'ai aimer, serais-ce le début de la fin? La vrai?
J'ai tellement mal et je n'arrives plus à écrire ce que je ressent. J'en pleurerais presque au  milieux de cette salle d'examen. Au milieu de tout ses gens qui ne ce doute de rien. Du fou qui est si proche d'eux, anonymement.

Je suis peut-être dans ta classe, dans ta promo, dans ta fac, dans ta ville.
Nous nous croisons peut-être souvent, jamais, parfois.
Nous sommes peut-être voisin, cousin, frère, ennemie.
Nous sommes peut-être camarade, connaissance, ami, en couple ensemble même.

Je suis en partiel et je vais rendre copie blanche.
" Je suis resté coincé dans ma tête depuis trop longtemps,
je peux presque entendre les anges.
"
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